1. fiction érotique : Dégats des eaux


    Datte: 03/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... évacuer le quartier , par groupe de huit personnes. Madeline poussait la petite blague bienvenue, quand à Tania , elle allait bien mais se plaignait de rater ses cours. Dans la foulée Sét appelait pour lui dire que sa femme l’attendait. 8h. Elle téléphona au boulot Red man répondit au bout du deuxième appel. En fait, Virginie était en train de le sucer dans les toilettes . Les autres collègues étaient absents à cause du sinistre. Mais elle ne le savait pas de la bouche du jeune homme ,c’ est Virginie qui lui envoya un texto coquin par la suite. Qu’elle manqua un ou deux jours de boulots ne fut pas un problème. Même la semaine manquée serait sans gravité. A 9h 30,une barque avec deux sauveteurs arriva et emmena un premier groupe . Un zodiac de police surveilla surtout le centre ville, animant ainsi bon gré mal gré l’activité de ce mercredi. On vit même les gendarmes en zodiaque pareillement ,et un hélicoptère de journaliste qui interviewa des adjoints sur un autre immeuble vers la mairie. Vingt cinq minutes après le premier aller-retour , la barque revint et emmena un second groupe . Eric était du premier, Jean-Pierre , Madeline , son fils et Tania du troisième . Avec tous les locataires et les vieilles personnes prioritaires de la rue , Jyanna compta 9 voyages. Elle fut la dernière à etre récupérée . Elle eu le temps d’aller de soulager , vers les onze heures dans sa salle de bain car le sauveteur qui tenait le gouvernail du moteur à hélice avait draguer une quadragénaire en ...
    ... manque de baise et cela l’avait tuer de rire et exciter, puis, plus tard, un gendarme avait réceptionné une mère ronde , aux seins énormes qui manquèrent de l’étouffer lorsqu’elle faillit chuter dans l’eau . Puis encore, un autre voisin l’avait compressé entre d’autres personnes dans l’attroupement suivant .Elle s’était mise à mouiller en sentant les mains d’un pauvre homme , inconnu, qui habitait semblait- t-il dans l’aile droite du bâtiment , au quatrième étage. Il était au chômage, avoua-t -il en s’excusant .Il était tout de même séduisant .Elle avait trempé sa culotte. Entre midi et treize heure ,la barque vint la récupérer , avec elle , une vieille dame du rez-de -chaussée ,un couple ordinaire et leur fille unique . Dans la singularité du moment elle faillit se toucher le clito devant les autres protagonistes mais se stoppa de justesse . Un fois sur un rivage ferme , elle remercia les deux hommes, un pompiers et un cantonnier ; en discutant avec eux quelques instants : - Merci , bon courage ,leur lança- t- elle - De même, dit le cantonnier. - Combien de temps ça va durer ? questionna -t -elle. - Peut-être cinq jours ou plus. La pluie ne cessera pas de tomber. - Ok j’en prends bonne note, merci encore dit-elle. Puis elle s’en alla chez son frère qui habitait le bourg d’à côté , derrière les futaies de la colline. Elle fit du stop. Elle remercia le ciel de ne pas avoir de voiture et de n’avoir qu’ un vélo, rangé dans le parc de l’immeuble pour se déplacer . Elle n’a rien ...
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