Liaisons dangereuses (5)
Datte: 03/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Encore à moitié endormi, je commence doucement à émerger, aidé en cela par la lumière du soleil. La lumière du soleil... Je n’ai pas pour habitude de dormir les volets ouverts, il ne devrait pas y avoir de soleil... Et je me souviens soudain où je suis, et aussi de la soirée passée hier. Chez Jenny avec Julien, le glory-hole à l’institut de beauté et puis pour finir la nuit (restante) en agréable compagnie. Mon mètre 90 est bien étalé sur le canapé, ce qui, du coup, me pousse à regarder à côté de moi. Pas de Jenny, je suis seul, recouvert à moitié par la fine couverture. Commençant à m’étirer, je me rends bien vite compte que, comme très souvent quand je me réveille, me voilà l’heureux propriétaire d’une très belle érection matinale ! Je jette un œil sous la couverture et en effet, mon sexe est fièrement dressé, le gland pointant vers moi. Je le prends en main pour en constater la belle fermeté et, si je n’ai pas pour habitude de me faire jouir au réveil, j’aime néanmoins me branler doucement quelques minutes, ne serait-ce que pour soulager cette vive tension. Soudain, une voix se fait entendre : — Bien dormi ? Je m’assois brusquement sur le canapé tout en cachant mon sexe tendu à l’aide de la couverture. Je vois alors Denise dans l’encadrement de la baie vitrée, tenant une tasse de café et me souriant tout en me regardant. — Euh, oui, oui, très bien merci ! Bredouillai-je, surpris. Je ne l’avais pas remarqué et je ne sais pas depuis combien de temps elle m’observait. — Tu ...
... veux un café ? — Oui, avec plaisir, ça m’aidera à me réveiller, merci ! Elle me sourit puis fait demi-tour et prend la direction de la cuisine. J’en profite pour vite chercher mes affaires, histoire de ne pas rester à poil. Je regarde par terre, sur les chaises, rien, mon pantalon n’est pas là, je suis pourtant sûr de l’avoir posé sur une chaise avant de me coucher. Quant à mon boxer, aucune trace non plus. J’ai le souvenir que Jenny me l’a baissé pour me sucer, mais je ne l’ai pas remonté après ça et me suis endormi direct. Peut-être a-t-il glissé le long de mes jambes durant la nuit... Je cherche rapidement sur le canapé et par terre, rien. Je n’ai pas le temps de pousser plus loin mes recherches que j’entends Denise revenir. Je m’assois donc sur le bord du canapé, la couverture posée sur mes cuisses et cachant ma queue toujours en érection. Denise entre sur la terrasse et me tend la tasse : — Merci beaucoup ! Elle s’assoit sur une chaise à quelques pas de moi. Elle est toujours habillée de la même robe de chambre en soie de la veille, sauf que cette fois-ci, elle est particulièrement échancrée, donnant une vue somptueuse sur une bonne partie de sa poitrine généreuse, ses auréoles dépassant très légèrement du tissu et ses tétons épais pointant au travers de celui-ci. Plus bas, c’est sensiblement la même chose, elle croise les jambes et ne prend pas la peine de les recouvrir si bien que j’ai à ma vue l’intégralité d’une de ses jambes avec en prime la naissance de sa fesse, ...