1. Robin


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... fais tomber mes chaussures. Je l’embrasse. Je retire mes vêtements. Je la caresse. Je lance ma chemise, mes chaussettes par terre. Je la caresse. Je l’embrasse. Mes lèvres goûtent sa peau, sucent la pointe d’un sein. Isabelle m’aide à me déshabiller, embrasse mon épaule. Elle ouvre ma ceinture… Quand mon pantalon tombe par terre, je suis au bord de l’orgasme. Je me retiens, je retiens sa main… — Attends, attends… Je ne vais pas pouvoir me retenir, si tu me touches encore ! Complètement nu, je la prends dans mes bras, essayant dans le même temps de ne pas appuyer les contacts et de satisfaire le besoin de coller mon corps contre le sien, de sentir sa peau. J’essaie de faire baisser un peu la tension. Me calmer avant la tempête… Elle se colle contre moi à la recherche de mon sexe. — Prends-moi, murmure-t-elle, je ne tiens plus, prends-moi. Ce fut bref, violent, presque sauvage. Je la pénètre doucement d’abord. Puis nous sommes emportés par la tempête, sans retenue, ses jambes se nouent sur mes reins. Offerte. Ses hanches lancent son ventre vers moi. Ouverte, cherchant à recevoir mon sexe au plus profond du sien. Mes reins poussent mon corps, mes cuisses frappent ses fesses. Mon sexe s’enfonce, se retire, la reprend. Tendu comme jamais, je la remplis, le gland roule sur le fond de son ventre. Rapidement, trop rapidement, l’orage soudain atteint son paroxysme. Une brutale déflagration nous emporte simultanément. Ses dents se plantent dans mon épaule, pour étouffer ses cris, la ...
    ... douleur renforce mon excitation ! Des éclairs violents traversent mon cerveau. Nos corps se tendent, se tordent. Je sens mon sperme monter le long de mon sexe. Je gémis, je crie presque, elle colle ma tête sur son épaule, je jouis. Longtemps encore, nos corps se tordent, se cherchent, jambes enlacées, enchevêtrées. Des positions douloureuses qu’il faut dénouer doucement. Je regarde mon épaule, passe mes doigts sur une morsure qui saigne. Elle regarde à son tour, effleure la lésion qui rougeoie. — Comment ai-je pu te faire ça ? Tu me rends folle ! Il est déjà bientôt 14 h, je dois retourner en cours sans perdre de temps, je passe un examen important dans moins d’une demi-heure. Je l’embrasse, me rhabille. Isabelle est là immobile, allongée sur son lit, elle m’observe, je peux voir que l’intérieur de ses cuisses est souillé de ma semence qui dégouline jusque sur les draps pour venir les tacher. Elle se redresse et m’accompagne jusqu’au seuil de la porte de sa chambre. Elle m’embrasse à nouveau avant de me faire une proposition qui dépasse mes fantasmes les plus fous. — Tu… si tu veux… tu peux dormir avec moi ce soir, Jean ne rentre de déplacement que demain dans la journée, ensuite, nous deux… ça sera plus difficile, car il n’est pas prévu qu’il reparte en déplacement de sitôt. Un instant, je pense rêver, je ne veux surtout pas me réveiller. Ma gorge se serre, cette proposition est tellement inattendue que j’ai du mal à répondre, mais je lâche un « oui, d’accord, à ce soir alors… ...
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