1. Maman veut le voir


    Datte: 03/05/2021, Catégories: fh, fplusag, fsoumise, hdomine, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, occasion,

    ... moyens, nooon…— Je sais, ma douce Marie, je sais.— T’es dégueulasse… non Laurent, nooon ! … Où veux-tu en venir ? Tu sais que c’est mon point faible…— Marie, détends-toi … ça te fait du bien, dit-il.— … Laurent, noooon… Les caresses se prolongèrent dans un silence perturbé par les râles de plus en plus forts de Marie. — Laurent, j’en peux plus… Laurent…— Tu veux que j’arrête ou que je continue ? Dis-le-moi, Marie.— Laurent, tu n’es qu’un salaud…tu profites de la faiblesse d’une pauvre femme.— Dis-le-moi, je veux l’entendre : j’arrête ou que je continue ?— Je ne sais pas… je… oooh… conti… continue… c’est trop bon. Aaaah, ça… ça vient ! Elle se releva à moitié de sa chaise en poussant un cri sourd et rejeta la tête en arrière, tétanisée. Puis elle s’affala sur son siège comme une poupée de chiffon. L’ignoble bon samaritain ne délaissa pas pour autant son œuvre de bienfaisance. Ses doigts descendirent sous le tee-shirt en caressant la peau nue du dos de Marie et défirent l’attache du soutien-gorge. Ensuite, il lui tira le vêtement par le haut comme pour la dépiauter. Elle se laissait faire sans opposer la moindre résistance. Il lui bloqua d’une main les poignets par-dessus la tête. Poitrine dénudée, elle était ainsi offerte à sa discrétion. Il ne se priva pas d’empaumer les seins tour à tour et rouler les pointes-framboises qui durcirent. Petit à petit, Marie abandonna sa léthargie passagère et reprit du poil de la bête, elle se tortilla, poussant sa poitrine en avant, le ...
    ... souffle court. La main du bon samaritain poursuivit le chemin sur la pente. Elle descendit sur le ventre à la peau si douce et s’infiltra sous le pantalon de training puis s’aventura sur le pubis bombé. Elle passa l’élastique du slip pour arriver à la toison. — Laurent, mais… où vas-tu… tu n’as pas le droit… c’est pas correct.— Ma belle, tu es complètement trempée, et sous le ruisseau, c’est la fournaise. Je pense que cela ne serait pas chrétien de ma part de te laisser dans cet état-là. Lève-toi, s’il te plaît. Il lui plut… Serrée contre lui et résignée à la suite qu’elle devinait, elle se laissa docilement conduire vers la chambre à coucher, jusqu’au seuil de laquelle elle tenta encore une fois de le repousser dans un ultime combat d’arrière-garde : — Non, Laurent… non, c’est pas bien… faut pas. Laurent… Je sais ce que tu veux faire… ne m’y oblige pas à ça. Mais que pesaient ses supplications face à la détermination d’une main conquérante qui prit possession de son entrejambe pour attiser le brasier ? Contre les doigts se refermant sur sa nuque pour lui électriser tout le corps ? Contre le torse puissant qui lui écrasait les seins pour la repousser vers le bord du lit sur lequel elle tomba en arrière. — Et maintenant, le moment béni. Cambre-toi, ma douce, s’il te plaît. Il lui plut encore… une docilité ivre des délices d’un faux suspense. Il se pencha, saisit l’élastique de l’ultime vêtement de coton et tira doucement le chétif tissu vers les chevilles en emportant dans sa course ...
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