J'appartiens sans le savoir à deux hommes en même temps - Histoires de Sexe

J'appartiens sans le savoir à deux hommes en même temps

... s’ouvrent pour l’accueillir. Il me fait femme. C’est lui, le premier à qui je permets d’entrer dans mon intimité. Il m’embrasse, me sourit, me remercie de ce cadeau que je lui fais. Des larmes de joie coulent sur mes joues tandis qu’une légère douleur m’arrache un petit cri, ce qui le fait stopper net sa progression. — Je t’ai fait mal ?— Non ; enfin, oui ; mais ça y est, c’est fini. C’est passé. C’est la première fois, tu sais.— Oui, merci, merci de m’avoir choisi. C’est trop bon d’être là, dans ton ventre. Nous restons de longues secondes sans bouger, à nous câliner, puis lentement il se met en mouvement. C’est étrange, cette énorme barre de chair à l’intérieur de moi, dans mon sexe. Je la sens bouger, glisser en moi, réveiller mes sens, les aiguiser jusqu’à ne plus sentir que lui dans moi. Les sensations reviennent, elles sont de plus en plus agréables. Je me surprends à pousser encore des petits gémissements de plaisir d’abord, puis des petits cris quand le bout de son sexe frappe avec vigueur le fond du mien. Des ondes de plaisir m’envahissent, remontant du fond de mon ventre vers la base de mon cerveau. Il me demande si j’aime. Je lui réponds que oui, de ne pas s’arrêter, de me prendre plus fort, plus vite, car j’adore ce qu’il me fait. Il accélère, tout s’emballe. Je passe mes jambes autour de sa taille pour l’attirer vers moi tandis qu’il m’assène de véritables coups de boutoir. Je me pâme. Je me tortille sous ses assauts. Je lui crie que c’est bon, que ça revient, ...

... que ça me fait comme tout à l’heure. Tous mes muscles se tendent ; je sais maintenant ce qui va m’arriver, j’en ai envie, je l’attends je la réclame, cette jouissance. Elle est là, elle explose en moi, me délivre de toute cette tension emmagasinée à chacun de ses coups de reins. Oui. Je jouis. C’est bon, c’est énorme. Encore. Encore. J’aime ça. Il me crie à son tour qu’il jouit. Je sens son sexe se raidir dans le mien. Il se vide et me remplit de son jus d’amour. C’est trop bon. C’est trop fort. Impossible de retenir ces larmes qui s’échappent de mes yeux pour couler le long de mes joues. Il ne s’en aperçoit pas, tout à sa propre jouissance, mais ce n’est pas grave, ce n’est pas important, je me sens tellement bien. Le soir même je raconte tout à ma mère. Elle me pose tout un tas de questions sur la date de mes dernières règles, quand je devrais avoir les prochaines, etc. puis je la vois rassurée. Elle me dit qu’il ne devrait pas y avoir de problèmes, mais que dès demain nous passerions voir un médecin pour me faire prendre la pilule. Elle me prend dans ses bras pour me câliner et me faire promettre de ne plus jamais commettre une telle imprudence, m’expliquant qu’il suffisait d’une fois pour se retrouver enceinte et là, c’est la galère pour une jeune fille de mon âge : fin des études, avortement, traumatisme, enfin tout ce qu’une jeune fille de mon âge ne devrait pas connaître. Je lui demande pardon, mais elle me rassure en me disant qu’elle n’est pas fâchée et qu’elle est ...