Liaisons dangereuses (2) - Histoires de Sexe

Liaisons dangereuses (2)

... lécher. Elle se met à gémir de plus en plus à mesure que ma langue visite l’intérieur de sa chatte. Elle est douce et son jus a un goût très agréable, c’est sans nul doute une des chattes les plus délicieuse que j’ai jamais dégusté !! Et elle semble adorer ça, ponctuant ses gémissements de « oui, vas-y !! » tout en passant sa main sur mes cheveux. Je colle ensuite ma bouche pile sur son clito qui dépasse à peine et me mets à l’aspirer entre mes lèvres tout en la doigtant avec deux de mes doigts. — Oh putain, c’est bon !!! s’écria-t-elle tout en venant agripper le bord du bureau de ses mains. Je suce, aspire, lèche son clito de plus en plus vite tout en la doigtant avec un bon rythme. — Oui vas-y, je vais jouir, vas-y, t’arrête pas !!!! Elle serre alors ma tête de ses cuisses, emprisonnant mon visage collé à son pubis, et, alors que des tremblements parcoururent ses jambes, je sens une bonne grosse coulée de mouille venir me tremper le visage et couler en grande partie dans ma bouche. Ses jambes me bloquant, je ne peux faire autrement que de déguster sa jouissance, et quand bien même j’aurais pu me libérer, je serais resté contre elle tant son nectar est délicieux. Elle écarte ses jambes encore tremblantes et je décolle ma bouche et mes doigts de son sexe, en profitant pour reprendre ma respiration. Mon visage et mon avant-bras sont trempés de sa mouille, mouille qui se met à couler en fines gouttelettes sur mon torse. Tout en reprenant son souffle, elle me dit : — Julien ...

... t’avait pas dit que j’étais un peu fontaine sur les bords, surtout quand on me mange comme ça ?? — Non, il a omis ce détail, mais c’est pas grave, c’est le genre de choses que j’aime découvrir par moi-même !! Elle sourit puis me dit en plongeant son regard gourmand par-dessus ses lunettes dans le mien et en écartant les jambes : — Maintenant, baise moi !!! Je saisis alors ma queue et la pénètre d’un coup puissant, mon pubis venant claquer sur sa chatte trempée. Je lui agrippe les cuisses et commence à la pilonner avec force et profondeur. Elle ne lâche pas son regard du mien et se mord les lèvres tout en gémissant à chacun de mes coups de reins. La pénétration se fait plus forte, le bureau tremble sous nos assauts. — Oui, oui, oui, plus fort, défonce moi, vas-y !!!! me crie-t-elle J’accélère encore un peu plus, la défonçant autant que je peux, ce qui a pour effet de la faire gémir toujours plus fort. Je m’immobilise complètement en elle, en profitant pour reprendre mon souffle. Elle se met alors à onduler son bassin, tout en ricanant, me dit : — T’en as assez chéri ?? Je lui donne un violent coup de reins, ce qui la fait bruyamment gémir. — J’en ai pas encore fini avec toi ma grande !! Elle sourit tout en remontant ses lunettes qui ont glissées au bout de son nez, puis me repousse brusquement. Elle se relève, se retourne, vient poser son pied droit sur son bureau et écarte sa fesse tout en se penchant légèrement. — Tant mieux, mon cul veut sa part aussi, me lance-t-elle en se ...