1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1149)


    Datte: 04/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mieux que je peux. Maîtresse Marie vient de temps à autre superviser mon travail. Le cœur battant, j’attends la moindre remarque mais rien ne vient. Je continue donc… Quand tout est terminé, n’ayant rien reçu comme indication, je m’agenouille en position d’attente. - Déjà fini ? Maintenant, passe le balai puis la serpillière au sol. Tu trouveras tout le nécessaire là-bas. (Elle m’indique un coin de la cuisine d’un geste sec de la main). Prends des poses suggestives et érotiques. Je veux voir ton fessier se trémousser, la salope. Elle ponctue cette dernière parole en frappant mon cul de son torchon. - Aller, oust ! - Oui Madame. Je ne suis pas du tout à l’aise pour danser. J’ai beau savoir qu’il faut voir le manche à balai comme un poteau de « pole dance », je n’y arrive pas. Je me sens très gauche. Malgré tout, je m’efforce de me déhancher sur un rythme lent. Pour m’aider, je me fredonne en boucle une musique érotique dans ma tête. Je sais que mon point fort c’est mon cul alors je me penche tout en baladant mes fesses de droite à gauche et en remontant, je fais glisser une main sur mes jambes en m’attardant sur mon entre-jambes et écartant mes fesses pour bien montrer mon plug. Ma main monte encore jusqu’à mes seins que je caresse et je vais ensuite lécher mes doigts couverts de cyprine de manière la plus sensuelle possible. Ce mouvement de balancier bouge le plug qui garnit mon cul et les petits soubresauts sur mon sphincter sont un délice. - Suffit ! Pose tes ustensiles et ...
    ... rejoins-moi à quatre pattes, espèce de chienne en chaleur... - Oui Madame. Je m’exécute au plus vite. Maîtresse Marie est assise sur un tabouret, elle soulève sa robe et dévoile une nudité sur ses parties intimes n’ayant aucuns sous-vêtements, les cuisses largement écartées exhibant ainsi sa vulve glabre. - Approche ta langue et lèche-moi, la guenon ! Docile, j’obéis et tends la langue pour pénétrer ses chairs intimes. Elles sont déjà humides à souhait : finalement, ma « danse » a eu des effets ! J’en suis ravie et je me détends enfin. Sa mouille épaisse ne tarde pas à maculer mon menton. Je passe et repasse ma langue dans chacun de ses plis. Lorsqu’elle m’autorise à utiliser les doigts, je lui pénètre la chatte et même sa rondelle plissée sur son ordre. Je lèche mes doigts en mettant le plus de sensualité possible dans ce geste avant de lui introduire de nouveau dans son fondement. Autoritaire, elle me maintient la tête et les cheveux pour imprimer le rythme qu’elle désire… Je sens tout à coup qu’on me prend l’extrémité du plug et qu’un chibre de taille impressionnante vient le remplacer, verge épaisse et dure qui me prend profondément le cul sans concession dans une cadence directe et rapide. Madame Marie m’empêche de voir qui est à l’œuvre. Rien ne trahit l’identité du nouveau venu puisqu’il reste silencieux et c’est la Cuisinière qui m’ordonne de ne pas jouir. L’Homme applique un rythme de plus en plus rapide et sa bite me ramone divinement la corolle. Ma bouche n’est pas ...