Le voisin est un pur-sang (7)
Datte: 04/05/2021,
Catégories:
Hétéro
"Allez ma belle vient me mouiller la trique. Et toi le petit facteur..." " — Je m’appelle Tugdual m’sieur.... Germain... — et toi donc, encule la; Les garçons présentez vos zobs à cette pompeuse! Vincent reprit ses élucubrations.... "Quel bordel de pompeuse en effet... la bouche est comme la chatte, comme les nichons... y’a rien à jeter". Encouragé par ce discours le petit s’y mit aussi. "Quel cul, putain c’est trop cool, ma copine veut pas que je la sodomise..." "Allez les gars, vous continuez sans-moi" et en disant cela, j’empoignais les cheveux d’Anne-So pour lui pencher la tête en arrière et elle ouvrit immédiatement la bouche comprenant mon attente. Je me finis à la force du poignet et j’éjaculai magistralement sur la bouche ouverte, abondamment pour une fois, le sperme s’égayant sur les joues ou plus bas, allant mouiller le torse de Germain. "récure moi la bite" et elle le fit. Depuis notre toute première fois avec Germain nous étions convenus d’un accord tacite de ne jamais arrêter la baise. Ce qui veut dire que, même couverte de foutre, Anne-So ne s’essuyait pas avant que le dernier des mâles ait vidé ses couilles. Cela impliquait bien souvent que nous fourrions un cul ou un con plein de jute ou que, lors de nos baisers, ou même quand nous bouffions la chatte ou la rondelle qui étaient déjà remplis, nous nous retrouvions avec un sperme qui n’était pas le nôtre dans la bouche. C’est ainsi que la bouche pleine de mon foutre se referma sur les sexe dur de Vincent. Il ...
... ne dit rien, mais Tugdual qui avait tout vu, s’écria " et en plus on peut lui juter dessus, ah le pied...". Pendant que mon sexe dégonflait, je pris mon appareil photo pour immortaliser les plus moments. Germain, ne participait plus. Il s’était retiré, mais sa bite, grosse comme une courgette, toujours tendue à mort, il faisait le tour du trio donnant des conseils, voire des ordres, aux uns et aux autres. Vincent était étendu sur le dos, les mains croisées derrière la tête, les yeux fermés, commentant la fellation qui le transportait. Le gland disparaissait dans la bouche puis réapparaissait, la langue le léchait , la bouche faisait ventouse sur le membre et descendait aux couilles, les bouffait pendant qu’une main astiquait le manche, puis à nouveau la bouche avide enfournait le nœud et tournoyait autour du gland à différentes vitesses, pendant que la masturbation continuait sur le chibre. Tendant la bite à mort par une forte pression de façon à ouvrir le trou de pine, la langue venait se poser délicatement dessus et, tournoyant , virevoltant, bondissant, le couvrait de délices. L’homme râlait. Pendant ce temps, l’employé des postes sodomisait la chienne en chaleur avec allégresse, en bouledogue, tout en s’agrippant aux seins ; "Tu les sens madame mes coups de bite? Tu sens mes couilles te taper le cul... t’es chaude toi... t’aime te faire baiser par des beaux mecs hein... aller prends cela...". Germain s’y joignait : "profite ma belle, profite, laisse aller ton cul... ouais ...