1. Une professionnelle dévouée


    Datte: 05/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... m’assois dans son coupé sport (que j’ai toujours trouvé ridicule) et il démarre. Au bout de quelques centaines de mètres, il regarde ma tenue et me dit qu’il n’en demandait pas tant. Je ne comprends d’abord pas pourquoi il me dit cela puis je regarde mes cuisses. Mince ! Assise ainsi, ma robe remonte en haut de mes cuisses et révèle largement la dentelle de mes bas et mon entrejambe. Je tire sur ma robe, un peu gênée, pour dissimuler mes cuisses mais rien n’y fait : la robe finit toujours par remonter. Devant le regard amusé de mon boss, j’essaie de m’en sortir avec un trait d’humour en disant qu’au moins les japonais n’auront pas fait le voyage pour rien !Nous arrivons au restaurant et retrouvons nos clients. Ils sont très chaleureux, voire charmeurs, mais cela reste très poli. Le repas se passe sans soucis et nous discutons politique et croissance. Le vin coule à flot et les japonais semblent de plus en plus joyeux… Ils proposent ainsi d’aller finir la soirée dans un club branché. Il est encore tôt, nous acceptons.Le club est en effet très « select » mais l’ambiance y est clairement libertine. La lumière est tamisée, des danseuses légèrement vêtues dansent dans des cages, les serveuses sont elles mêmes peu farouches et, dans les banquettes rouges, des hommes regardent les filles danser et des couples se caressent dans des coins plus isolés.Nous prenons place autour d’une table basse et je m’assois dans la banquette. Immédiatement, comme dans la voiture, ma robe remonte et ...
    ... révèle mes bas. Les japonais, qui m’entourent, ne ratent rien du spectacle, tandis que mon boss, sur le pouf de cuire en face, commande une bouteille de whisky et regarde la scène, amusé. Je n’arrive pas à trouver une position qui me convienne et ne cesse de croiser et décroiser les jambes, de tirer discrètement sur ma robe qui remonte dès que je me penche pour aller prendre mon verre sur la table basse. L’alcool aidant, mes japonais sont de plus en plus entreprenants.L’un d’eux pose une main sur ma cuisse en me félicitant pour ma gestion du dossier pendant que l’autre entreprend de me masser les épaules en complimentant mon physique. Lorsque je retire une main, souriante mais gênée, une autre se pose si bien que je n’arrive pas à contenir ces clients de plus en plus pressants. Ma volonté s’effrite également d’autant que mon verre de whisky est bizarrement toujours aussi plein malgré ce que je bois… Les japonais se font plus audacieux et massent mes cuisses et mes épaules à grand renfort de compliments pour mon physique.Je continue de faire semblant d’écouter la musique et de boire mon verre comme si de rien n’était. Mais les japonais eux ne pensent qu’à me toucher et mon patron regarde de manière intense le spectacle sous ses yeux. Une main à droite s’aventure sur le flanc intérieur de ma cuisse et remonte vers la dentelle de mon bas tout en essayant d’écarter ma jambe. C’en était de trop et je dégage fermement la main et lançant à l’homme à ma droite un regard sévère. Mais ...
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