1. Après une longue journée


    Datte: 05/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Comme chacun de nous, Élodie a parfois de dures journées. Celles passées entièrement à l’institut sont souvent les plus éprouvantes : debout la majeure partie du temps en compagnie de clients plutôt bourgeois pour ne pas dire hautains. Un soir, je l’attendais chez elle lorsque je la vis rentrer, fatiguée et exaspérée. Je ne l’avais jamais vu dans cet état, ayant du mal à lui arracher un de ses sourires que j’affectionne tant. Je lui proposai alors de m’occuper d’elle. Ce n’était que juste retour des choses après une journée passée à s’occuper des autres. -« Voilà une proposition intéressante ! » dit-elle, visiblement ravie. « Mais je préférerai que cela se fasse dans certaines conditions si tu vois ce que je veux dire ! » -« Vu ton sourire, oui je vois parfaitement à quoi tu fais allusion ! » répondis-je en riant. -« Très bien alors dans ce cas, va chercher ton matériel et attends-moi dans ma chambre. Nu ! » Ce soir-là, je devins son jouet. Et cela est devenu une habitude, notamment après ces fameuses journées ! Systématiquement, je finis rigoureusement ligoté et à sa merci ! Elle s’amuse avec moi, me palpe sous toutes les coutures sachant parfaitement que je ne peux pas me soustraire à ses caresses. Elle se délecte de ma bouche sur ses seins, sur son sexe ou dans son cul mais le reste du temps, inutile de dire que je suis étroitement bâillonné. Mes grognements de frustrations contribuent à son plaisir. Une fois que Madame est comblée, elle me libère. Le récit qui va ...
    ... suivre se déroule donc un de ces fameux soirs. J’étais allongé sur le lit, face aux oreillers, dans un solide hogtie. Le lien reliant mes chevilles croisées à mes poignets a été sévèrement tendu, à la limite de ma souplesse. Élodie apprend très vite et s’est nettement améliorée en matière de nœud. J’admets que je ne suis pas étranger à cette progression. Un gros bâillon boule noir a pris place dans ma bouche. Je grogne en testant mes liens pendant que madame se fait attendre. Rien à faire ! Son ligotage est simple mais très bien exécuté, les nœuds sont hors d’atteinte. Et puis, si j’avais pu me libérer aussi facilement je n’y trouverais pas mon compte ! -« J’adore regarder te débattre ! » lança-t-elle depuis le seuil de la porte. Je ne l’avais pas entendu rentrer et, ne voyant pas l’entrée depuis ma position, j’ignorai depuis combien de temps elle m’observait. Enfin, je pus la voir. Elle s’était changée et avait revêtu une nuisette noire transparente. J’apercevais sans peine sa culotte en satin noire, une de ses préférées. Sa poitrine était nue, je grognai d’admiration et de satisfaction derrière mon bâillon. Elle s’installa confortablement et écarta ses jambes, m’offrant une vue des plus plaisantes. Je désire son sexe, j’aime le voir, j’aime l’avoir en bouche, j’aime y pénétrer. Et elle ne le sait que trop bien. Le sourire aux lèvres, son regard inquisiteur attends ma réaction. Je dois rester impassible, je ne dois pas lui montrer mon désir. Je me contente de lui lancer un ...
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