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Sena et la soirée
Datte: 06/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois
... et ses tétons semblent vouloir exploser. Le contraste entre sa peau blanche et la cire noir est sublime. Son ventre, ses seins, et un peu de son visage portent des coulées. Le spectacle est absolument dantesque.La fille toute en noir ayant observé la scène de loin juge que c’est assez. Elle détache l’esclave blonde, la fait se mettre à 4 pattes puis l’emmène dans ce qui semble être un dressing room derrière le bar. Elle l’a traite sans respect et la traine littéralement par terre. Nous restons un peu tous interloqué par la fin quelque peu brutale de la scène, mais chacun se regardent avec satisfaction puis retourne au bar, Sena me regarde en tremblant comme si ce qu’elle venait de vivre l’avait choquée, comme si ces croyances et ses certitudes venaient d’être balayées par cette vague d’un désir si fort dont Sena ignorait complétement l’existence. Elle m’embrasse à pleine bouche et son regard et d’une intensité folle. Nous buvons.Le reste de la soirée, quoique agréable se passera sans aucun autres moments aussi troublant. En moment de quitter le lieu, dans le couloir d’entrée, nous croisons la fille blonde par hasard. Elle est en effet très grande, avec un beau sourire et un regard laissant deviner une femme de caractère, qui assume à la perfection ses désirs, dominante dans son art d’être soumise. Au moment où nous la croisons, elle ignore totalement que la petite fille brune qu’elle croise lui a mangé les seins plus tôt dans la soirée. Elle n’a d‘ailleurs pas remis de chemisier, le haut de son corps est offert à la vue de tous et ses tétons sont enserrés par des pinces en acier noir. Grace à la gravité, chaque pas font balancé ses seins et torturent un peu plus ses tétons. Quelle femme. Avant de sortir de la salle, Sena soudainement se retourne et fonce vers la fille. Elle lui parle quelques secondes à l’oreille et pour la seconde fois ce soir, Sena me chamboule par son attitude. Sena l’embrasse sur la joue. « Elle s’appelle Joëlle, et j’ai son numéro »