Ma femme et " son guérisseur " (5)
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... guérisseur coupa la vidéo sur son ordi et me regarda, guettant mes impressions. Ginette bénéficiait d’un appartement neuf a bas coût et d’un service immobilier de qualité… Jean-Louis, lui, avait la clé pour faire évoluer Cécile dans sa sexualité et comptait bien en profiter … durant le séminaire. Toutes les pièces du puzzle s’emboitaient, ah j’avais bien été pris pour un con, pas de doute ! Mais il semblait que j’avais un nouvel allié : « C’est sidérant, je comprends tout à présent. Si je vous suis bien, vous m’avez puni, bon je ne l’ai peut-être pas volé aussi, c’est vrai que j’avais délaissé ma femme à cause de mon job et aussi de mon égoïsme. Vous avez soigné ma femme, en avez profité, et en un sens je vous comprends. Mais pourquoi votre femme a t’elle vendu le pot aux roses à mon chef ? — Par pure jalousie ! Elle s’était rendue compte que votre femme me plaisait beaucoup et avait peur d’être évincée par elle ; en la mettant dans les griffes de votre chef elle se débarrassait de cette menace et me récupérait entièrement…seulement elle ne pouvait pas savoir que j’étais au courant de tout, grâce aux caméras dont elle ignore la présence. — Où est-elle à ce propos, — A la cave, elle fait pénitence. — C’est-à-dire ? — Je lui ai donné le choix : soit partir de ma maison vu la faute et la trahison qu’elle a commises à mon égard…soit exécuter 15 jours de pénitence où elle doit se soumettre de bon gré a tous mes désirs. Elle a choisi la seconde option. Mais revenons à nos moutons… ...
... au vu des vidéos que ma femme est sensée recevoir de votre chef, mais que moi j’intercepte bien évidement, je crois que vous allez recevoir d’autres mauvaise surprise dans les jours suivants… vous reviendrez me voir après cela. Gardez courage ! » Effectivement, le deuxième jour après la fin du séminaire, on sonna. J’ouvris, et ma femme rentra dans la maison, sans même me dire bonjour ou m’adresser un regard. Elle se dirigea tranquillement dans notre chambre et commença à faire ses valises… Alors que je lui demandais ce qu’elle faisait, où elle partait , elle me regarda avec un sourire de mépris : « Tu ne devines pas ? — Chez Jean-Louis ? — Non beaucoup plus haut… chez Fred ». Fred, le big boss, mes pires cauchemars se réalisaient, et malgré mes menaces ou mes supplications, rien n’y fit. Alors que j’allais la maintenir par le bras, je sentis une poigne d’acier me saisir par l’épaule ; c’était l’un des deux gardes du corps du patron, qui devaient aider ma femme à prendre ses affaires. Alors je tentais le tout pour le tout : « Cécile ma douce et charmante femme, reste je t’en supplie ! » Elle se retourna en rigolant : « Pas de bol pour toi, tu n’as pas le damier et maintenant je n’en ai plus besoin…je suis complètement désinhibée et j’assume ma sexualité ! Dommage pour toi d’ailleurs ! » Et disant cela, elle remonta la robe en stretch moulante qu’elle portait, pour s’éloigner nue dans la rue, jusqu’au véhicule « Hummer » de son nouvel amant. Le gorille, après avoir mis tous les ...