Lendemain de Fashion Week...
Datte: 06/05/2021,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Pour certains et surtout pour certaines, me direz-vous, quelle chance d’avoir pu obtenir des invitations pour assister aux défilés de mode à Paris ! C’est ce que les medias et les « fashionistas » appellent aujourd’hui, la « Fashion Week ». C’est vrai, c’est sympa, un peu fou, mais sympa. Et intérieurement j’exultais en pensant aux belles plantes, à toutes ces beautés que j’allais pouvoir voir, approcher et pourquoi pas draguer. Sans compter ce que les super spécialistes nomment les « after »… les soirées privées qui suivent les défilés. Voilà comment je me suis retrouvé embarqué dans une de ces soirées, où le nombre des « people » était aussi important que celui des mannequins. Les unes fêtant la réussite de leur défilé, les autres se réjouissant d’être ensemble et faire la fête. Autour de ce « petit » monde, tournoyait une foultitude de photographes et cameramen sans compter les attachés de presse. L’ambiance y était à la fois chaude et détendue et l’on sentait bien que le stress se déchargeait au fur et à mesure que les bouteilles d’alcool se vidaient. Dans un coin du bar, je me retrouvai entouré d’une nuée de très belles jeunes femmes, au point que mes yeux ne savaient plus trop où ni qui regarder. Il y avait de tout… une blonde platine, une brune hispanique, une Black des Caraïbes et une d’Afrique. Il y avait aussi deux Chinoises et une Japonaise. Le sabir qu’elles parlaient était incompréhensible au commun des mortels mais l’alcool aidant, tout le monde arrivait à se ...
... comprendre. Miracle des lieux. Miracle de l’instant. Bref, intérieurement, je me frottais les mains et me pourléchais les babines en pensant que cela serait bien le diable si je n’arrivais pas à embarquer, pour une nuit tumultueuse, une, voire deux de ces créatures. Avec l’heure qui avançait, le « dance-floor » se vidait petit à petit, les verres et les bouteilles aussi. Quelques photographes résistaient encore, quelques starlettes en mal de publicité aussi, et bien entendu, la poignée des jeunes mannequins qui m’entouraient. Tard, bien plus tard, je me retrouvai dans la rue à héler un taxi avec – ne soyez pas si jaloux – deux sublimes filles à mes côtés, enfin une dans chaque bras. La blonde, d’origine ukrainienne. Une vraie brindille. Des jambes qui ne se terminent jamais, une taille de guêpe, des seins (ce qui devient rare dans cette profession) suffisant pour remplir la main d’un honnête homme. Toute la soirée elle n’avait pas cessé de me charmer avec son sourire enjôleur, ses yeux verts et son nez mutin. Dans l’autre bras, le contraste, la jeune japonaise. Cheveux noirs, yeux en amandes très fendus qui ne laissaient voir qu’un semblant de pupille, noire. Toute menue, presque plate comme une limande, mais tout aussi en jambe que l’Ukrainienne. Elle se nommait Sheisha tandis que l’Ukrainienne clamait un peu trop fort qu’elle s’appelait Valentina. Bref, de quoi finir en beauté cette soirée et ce week-end. Et ce d’autant plus que ni Sheisha ni Valentina n’avaient d’engagements ...