Petits flirts entre amis
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Masturbation
Lesbienne
... moi, je sais pourquoi il m’a éloignée du groupe, on a six minutes pour jouir, pour se rencontrer, pour se connaître (pour s’aimer). Je me masturbe en touchant sa bite sous moi, je lui presse les couilles, je m’ouvre à lui, pleinement, je me donne à cette pine inconnue qui me transperce et me comble. Ses mains reviennent sur mes gros nichons, ajoutent à mon plaisir, à la construction de ma jouissance, je tourne la tête, cherche ses lèvres, les trouve. (Embrasse-moi, baise-moi plus fort !). Sa langue tourne dans ma bouche, sa grosse queue déchire ma chatte étroite, je gémis urgemment, je me fiche des autres, d’Alain qui reconnaîtra mes couinements, je veux jouir avec lui, mon ventre hurle de désirs et de plaisirs inassouvis, je me cambre, me cabre, je pousse vers l’arrière, me plante sur son sexe, lascivement, lentement, profondément, il m’emplit, me remplit. — Oah ouiii ah ouiiii aaah ouiii…Il accélère le rythme, je pars, la respiration me monte à la tête, il relâche mes seins (non, continue à les presser !) se redresse, att**** mes hanches fermement et me baise comme une chienne, (oui, comme ça) en levrette, son pubis tape contre mon petit cul, (baise-moi baise-moi) dont il tâte les lobes modestes, je continue à malaxer ses couilles et me rends compte qu’il les a épilées, le contact est doux et suave sous mes doigts. Il me laboure le sillon, sa queue fend ma chatte comme une épée vibrante, je m’écrase contre le sol, cherche une jouissance qui me fuit, à grands renforts de ...
... geignements très audibles. — Ouh ! C’était chaud, les mecs ! On va allumer, attention… !Je sursaute, il sort sa bite de mon vagin en feu, me repousse à regrets, je suis sur le parquet, je n’ai pas entendu la musique s’arrêter ! Une allumette craque, je me relève d’un bond, les jambes flageolantes, et rejoins les filles en réajustant mon soutif - toujours dégrafé.La première bougie. Je n’ose pas regarder Alain dans les yeux, mais je vois qu’il referme les boutons de son pantalon. A-t-il fauté aussi ? Notre couple est-il mort ici, ce soir ? Seconde bougie. Les couples se sourient, rouges, débraillés, je rattache mon soutif l’air de rien, les bras repliés dans le dos, sous le T-shirt. Coupable, mais naturelle. Ma culotte a disparu. La honte. Olivia se recoiffe et redresse sa jupette. Elle a l’air ivre. Comme nous toutes. — Hem. Pouf ! Eh bien, c’était chaud chaud ! Dernier jeu de la soirée, je vous l’explique et vous dites si vous n’êtes pas d’accord sur le papier de vote : chaque couple va se retrouver dans une pièce ou un placard de la maison. Le but du jeu, pour ces dames, est de faire jouir le plus rapidement son propre mari - à la main, à la bouche… ou mieux. La semence sera recueillie dans une flûte à champagne, si vous l’osez, et vous verrez ce que nous en ferons après ces petites réjouissances…On se regarde tous, incertains. Je suis gênée, encore, mal-à-l’aise, ma pudeur reprend le dessus, alors que la cyprine mêlée de salive et de transpiration coule en gouttes épaisses ...