Je fantasme sur ma soeur (3)
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... objection ; parce que quelque part, j’en ai envie. J’avais déjà fantasmé sur l’idée de me faire embrocher par deux bites bien dures en même temps, mais je n’ai jamais pensé passer du rêve à la réalité ; ou du moins pas comme ça. Je m’imaginais plutôt une situation plus douce ; avec deux hommes simplement ivres de désir, et non deux barbares en manque. Je suis pourtant impatiente. Même si je pouvais reculer, je ne le ferais pas. Julien s’est arrêté pour aider Pascal à me pénétrer. J’écarte un peu plus les cuisses d’instinct afin de mieux m’offrir. Je sens d’abord son gland entrer en moi, puis il m’enfonce tout doucement sa tige. Je pousse un cri en fermant les yeux. J’ai mal. Je n’arrive pas à croire que j’ai une bite dans ma chatte et une autre dans mon cul en même temps, et que ces deux verges ne sont séparées que par une fine paroi de chair. Je suis remplie. Je ne pensais pas que mon corps pourrait supporter ce genre d’invasion. Après avoir attendu un moment à ce que je m’habitude à cette nouvelle sensation, mes amants commencent à remuer lentement. J’avais peur qu’ils soient de suite brutaux, mais je suis rassurée par leur comportement. Leur rythme est inversé ; quand Julien me fourre, Pascal ressort. La douleur s’estompe graduellement ; ou du moins, le plaisir devient plus fort. Ils accélèrent, et je perds la tête. J’avais très peur, mais je réalise que je fais vraiment bien partie de ces salopes qui aiment se faire baiser par deux hommes en même temps. J’aime ce qu’ils ...
... me font. J’aime les sentir bien dur rien que pour moi : sentir leur désir et leur besoin. J’ai encore envie de jouir. — Tu aimes ça, frangine ?! vocifère mon frère. — Oui ! fais-je en hurlant. — Tu aimes nos bites ?! — Oui ! J’aime vos bites ! Je les veux ! Pitié, prenez-moi ! — Tu n’es vraiment qu’une salope ! n’en revient pas Pascal. — Oui. Je suis la salope de mon frère ! Ma réponse a dû l’énerver, car il me lime plus violemment pour se venger. Après un moment, il sort de mon vagin et se relève pour que je le suce. Il me fait gouter le jus de ma propre chatte. Je trouve ça bon, mais je ressens une terrible sensation de vide au niveau de l’entrejambe. Je veux qu’il retourne en moi. Je voudrais le crier, mais j’ai la bouche pleine. Alors J’expulse sa queue en la rejetant avec ma langue : — Pitié, baise-moi, dis-je. Ma chatte béante hurle qu’on vienne la remplir. — Natasha... je ne te reconnais plus... fait-il troublé. Mais pas assez pour ne pas obtempérer. Moi non plus, je ne me reconnais plus. Je pensais à avoir touché le fond, mais je suis en train de passer à un nouveau stade de dépravation. Totalement libérée, je suis esclave de mon envie de sexe. Il me faut de la bite. N’importe qui pourrait passer par là, et me présenter son sexe que je le sucerais et je le laisserais me baiser. J’ai juste désespérément besoin de jouir par tous les moyens. Je ne me suis jamais sentie aussi pute de toute ma vie. Mes deux hommes aussi prennent leurs pieds. Je pense que cela leur plait ...