Dounya
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
fh,
toilettes,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
... *********** Je me cognai la tête contre le rebord de la fenêtre restée ouverte, et retombai sur mon lit. Une douleur vive et fulgurante me traversa le crâne. — Bordel ! De colère, je donnai un grand coup dans mon oreiller. — Bordel ! Un élancement sourd faisait palpiter ma tête. Je me relevai et m’assis au bord du lit, pris de nausées. Dounya avait encore laissé la fenêtre ouverte en grand. Bon, il faisait chaud cet été, certes, mais elle aurait pu la refermer avant de se lever ! Je m’emparai de mon portable posé sur la table de nuit et envoyai un texto à ma bien aimée : — T’as intérêt à me tailler une putain de bonne pipe si tu veux être pardonnée d’avoir encore laissée la fenêtre ouverte ! Je reposai le téléphone et me levai avec précaution. Mon crâne me cuisait toujours. Le drôle de rêve qui m’avait fait me réveiller en sursaut me revint. Putain, le joint d’hier soir avait laissé des traces… Je traversai la chambre et pris des vêtements propres dans la commode. L’horloge, au-dessus de la télé indiquait presque dix sept heures. — Génial, grommelai-je. Après une rapide tasse de café au lait, je pris une longue douche chaude, savourant le dégourdissement de mes muscles, le réveil progressif de mon esprit sous la cascade d’eau. Je fermai les yeux et laissai mes pensées vagabonder vers Dounya. Je songeai à sa poitrine ronde et délicate, aux pointes si sensibles, aux courbes généreuses de son corps, à son ventre mince, à ses fesses bombées. Je sentis ma virilité se dresser à ...
... l’évocation de sa silhouette. Je songeai à l’expression de son visage, son regard hautain et que l’on pouvait prendre méprisant, à ses yeux. Mes doigts se fermèrent autour de mon pénis et mon poignet se mit en mouvement doucement. Hmm, Dounya… Je la fréquentais depuis huit mois maintenant. C‘était la fille aînée d’une collègue de boulot. À l’époque, je travaillais de nuit. Ma collègue, une femme de quarante cinq ans, me montra un soir une photo de ses filles. Dounya était au centre, entourant ses cadettes. J’avais été attiré par le visage froid, le regard et la moue prétentieuse. De plus, je l’avais déjà croisée dans le quartier, sans savoir qu’elle était la fille de ma collègue. J’avais cherché deux ou trois fois comment l’aborder, mais sans jamais oser le faire. J’étais moins sûr de moi, à l’époque, et je craignais des moqueries ou un rejet. Alors je me contentais de l’observer à la dérobée, lors des rares fois où le hasard faisait croiser nos routes. Puis, environ un mois après avoir appris qu’elle était la fille de ma collègue, je la croisai à la caisse d’une grande surface, où elle venait tout juste d’être embauchée. Dieu, qu’elle était belle dans son uniforme vert clair ! Ses cheveux un peu ondulés étaient attachés en chignon, mettant son visage en valeur. Délicieuse. Ses yeux semblaient capables d’hypnotiser ceux qui les fixaient trop longtemps. Et cette petite moue de dédain sur son visage, était absolument craquante. J’accélérai le mouvement de mon poing fermé en ...