1. Dîner chez Virginie


    Datte: 08/05/2021, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, extraoffre, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral préservati, double, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe totalsexe,

    ... laisse la surprise, tu découvriras ça tout à l’heure. En voilà un mystère. Et pourquoi rougis-tu Fred ? Phil, j’ai les jambes qui flageolent ! Je n’ose pas approcher le troisième ! Ne t’avance pas si vite bon sang ! — Et enfin, je te présente Claude. Claude est prof de Français, écrivain à ses heures, peintre amateur, grand voyageur et que sais-je encore… Il est bourré de talents, mais il est trop modeste et ne s’étale pas sur sa vie. Tu ne lui trouves pas un physique de sage ?— Phil, voyons, vous faites de moi un portrait trop flatteur, je suis juste un homme comme un autre. Un simple cinquantenaire débutant, rien de plus ordinaire.— Tu vois… je te le disais… Il faut que je me force à lever les yeux et regarder cet homme. Ça va me coûter un effort surhumain, mais il faut que j’y arrive. Quelle intensité dans ces yeux bleus ! Paul Newman peut bien aller se rhabiller. Cet homme va me faire me liquéfier sur place. Pourtant son regard est si doux, si bienveillant. — Bonsoir Claude. Je suis… heu… très touchée… enfin… enchantée. Et voilà. Bel emmêlement de pinceaux, Bridget Jones n’aurait pas fait mieux. Merci de me sourire sans moquerie Claude. Ça me touche sincèrement. Quelle force tranquille émane de cet homme, c’est fou ! Sans doute est-ce pour cela que j’ai un faible pour les hommes mûrs, cette sérénité qu’ils dégagent. — J’espère les avoir bien choisis, j’espère qu’ils te plaisent. Bien sûr tu les as bien choisis. Aussi bien Manuel pour son élégance et sa touche ...
    ... d’exotisme, que Frédéric pour son physique. Et Claude. Claude et son charisme. Cet homme mûr dont je rêvais depuis si longtemps. Ma cerise sur le gâteau. À cet instant tu pourrais aussi bien mettre un terme à cette soirée, je t’en aimerais tout autant. Parce qu’encore une fois tu me prouves que personne au monde ne me connaît mieux que toi. Que tu es attentif, attentionné, que chaque parole que je dis, tu l’écoutes, que chaque geste que je fais, chaque regard que je porte, tu peux les interpréter. Cet instant de la soirée, quoiqu’il puisse se passer d’intense, de puissant par la suite, cet instant est pour moi le plus merveilleux, le plus inestimable. Celui où je me sens vraiment femme, ta femme. Plus que jamais je t’admire. Plus que jamais je t’appartiens. Même si je sais que ce terme-là ne te plaît pas. Tout à l’heure, ces trois hommes me feront l’amour. Ils caresseront mon corps, y glisseront leur langue, me posséderont. Nous nous donnerons du plaisir. Un plaisir dont je sais déjà qu’il sera décuplé, fort, violent, enivrant. Tout cela sous tes yeux. Et tu n’en éprouves aucune jalousie, pas la moindre crainte. Ce n’est que raison. Ces actes ne seront que physiques. À travers ces hommes, c’est toi que j’aimerai. Pour la confiance que tu me portes, pour ce que tu me permets de vivre qui me permet de m’épanouir. Pendant que d’autres s’échinent à vouloir posséder l’être aimé, toi tu t’évertues à m’aimer. Tu m’apprends à me libérer, à reculer mes frontières, à bousculer nos carcans ...
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