1. Ma vengeance. Chapitre 4 : Daniel


    Datte: 08/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... titillait. Je fus le premier à jouir et j’explosais dans la bouche de Françoise qui avoir bien recueilli les dernières gouttes se précipita pour embrasser Eric. Jacques se retira. L’anus d’Eric béait. Il demanda à Françoise de se placer sur le dos et d’ouvrir son sexe. Présentant la queue d’Eric, il lui demanda de la pénétrer. Une fois en place il se présenta à nouveau et l’encula. Ils mirent un certain temps avant de coordonner leurs mouvements. Je me plaçais derrière Jacques pour lui caresser le dos et les seins. Françoise eut toutes une succession d’orgasmes avant qu’Eric explose en elle avec un grand cri. Jacques accéléra la cadence et s’effondra sur le dos de son amant, le corps agité de soubresauts pendant que je lui caressais les fesses et le dos.Jacques devait s’absenter trois heures et devait revenir avec une surprise. Il se rhabilla et nous laissa avec Françoise qui s’allongea entre nous. Elle avait pris nos sexes dans les mains et les caressaient. Noue récupérions doucement. Eric demanda à François de placer son sexe bien ouvert sur mon visage. Avec ma langue et ma bouche, je titillais son clitoris, je pénétrais son vagin. Pendant ce temps Eric avait récupérer le tube de gel et s’occupais de lui ouvrir le cul. Il la doigtait et je voyais son anneau progressivement s’ouvrir. Il lui demanda de se placer sur mon sexe et de s’empaler. Plaçant sa queue sur son œillet il l’encula brutalement. Je réglais mes mouvements sur les siens. Je sentais les pointes de ses gros ...
    ... seins sur ma poitrine. Elle haletait, poussait des soupirs de satisfaction, nous demandant de la baiser, de l’enculer. Elle était vraiment hystérique et secouait sa tête de plus en plus fort. Sa jouissance fût particulièrement violente. Elle m’avait pris les épaules et s’accrochait à moi. Elle était à la limite de perdre connaissance. Mon éjaculation entraîna une nouvelle séquence d’orgasmes très rapprochés qui continuèrent quand Eric se vida en elle. Son regard était hagard. Ses ongles étaient plantés en moi. Ses jambes étaient agitées de tremblement. Nous la laissâmes récupérer dans le lit où elle s’endormit aussitôt. Nous prîmes une douche, satisfaits de nos prestations. Nous descendîmes au salon pour prendre un pot. Au bout de deux heures, Françoise nous rejoignit. Elle avait pu se laver et se remaquiller. Nous étions tous les trois nus. Elle s’absenta pour préparer le repas du soir, un brunch tout simple.Nous attendions tranquillement le retour de Jacques qui arriva peu de temps après accompagné de deux belles femmes plantureuses d’une cinquantaine d’année qui ne furent pas surprises de nous voir nus. Elles avaient un accent américain prononcé. Elles nous embrassèrent avec pour Françoise une caresse appuyée sur ses fesses. C’était des anciennes clientes d’’Eric qu’il avait connu dans sa période gigolo. Elles aimaient le sexe et préféraient avoir des jeunes amants performants, endurants, quittes à les payer. Ils s’étaient revus aux Etats unis au cours d’une soirée avec les ...
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