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Ma vengeance. Chapitre 4 : Daniel
Datte: 08/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe
... elles se mirent à nous traiter de pédales, de tantouzes, disant que nos culs n’étaient que des garages à bittes. L’excitation montait d’un cran. Mary me faisait mal aux tétons mais ce n’était pas désagréable. A un moment elle me demanda de changer, de m’occuper de mes tétons pendant qu’elle allait me traire, me faire cracher mon sperme. Elle me branlait d’une main avec une certaine v******e et de l’autre me frappait les fesses qui devenaient toutes rouges. Elle m’insultait, me traitait de tous les noms. Etant au sommet de son excitation, elle un orgasme violent qui la fit momentanément abandonner ma queue et arrêter sa fessée. Après un petit temps de récupération, elle repris sa sodomie. Prenant mes couilles dans une main et ma queue de l’autre pour me branler elle n’arrêtait pas de me dire : « crache, crache ton jus crache salope ». Elle me dominait complètement. Je sentais que j’allais venir et le lui dis. Elle se retira brutalement, me retourna et se précipita sur ma queue pour l’emboucher. En quelques mouvements je crachais ma semence qu’elle avala. Elle retira son gode ceinture et me força à nettoyer le gode vaginal recouvert de ses sécrétions et le gode extérieur. Satisfaite de mon travail elle me donna un long baiser en me disant que j’étais une bonne petite salope.Eric alors que Françoise avait eu son orgasme n’avait pas pu éjaculer car il n’avait pas suffisamment récupéré. Quand à Jacques les simples mouvements sur sa prostate avaient suffit à le faire juter.La ...
... pause déjeuner nous fit du bien. Jacques nous proposa de faire une sieste. Je retrouvais donc Mary dans sa chambre. Elle me confia alors qu’elle devenait de plus en plus masochiste. Elle avait découvert à New-York un club libertin uniquement consacré aux jeux de domination et de soumission. Comme elle était seule elle s’y était rendue. Elle avait rencontré un jeune couple de dominas qui l’avait prise en main et lui demandé de se faire poser les anneaux et le piercing. Elle aimait ce mélange plaisir souffrance, cette soumission qu’ils lui imposaient. Elle retournait les voir de plus en plus souvent et s’en inquiétait surtout vis à vis de son mari. Je ne pouvais rien faire pour elle en dehors de lui travailler les seins. Elle me fit promettre de n’en parler à personne. Je la laissais se reposer.Je retrouvais Eric, qui avait de même avec Françoise. Nous sortîmes dans le jardin. Je lui demandais s’il pouvait installer chez moi un système d’enregistrement audio et vidéo pour confondre éventuellement ma tante et se venger d’elle. Il me répondit que cela devait être possible sous réserve qu’il puisse accéder à la maison. Il fallait donc que je demande à mon père de l’inviter à m’accompagner la prochaine fois que je retournerai à la maison.Parlant de la ressemblance de sa mère avec Jane, je lui indiquais que j’avais demandé à cette dernière de dire à sa mère que les photos que j’avais vues d’elle m’avaient troublé. Je n’avais pas pu dire à Jane sous peine de nous trahir, que je avais vu ...