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L'inconnu du parc
Datte: 08/05/2021, Catégories: Anal Gay
... comme un écorché tellement c’était douloureux mais passé cet instant, je le suppliais de me baiser fort, de m’exploser le cul, de faire de moi ce qu’il voulait car j’étais sa femme, son jouet, sa pouliche et qu’en véritable étalon, il avait le droit de faire de moi ce qu’il voulait.Mes paroles avaient dû l’exciter au plus haut point car maintenant, il me pilonnait littéralement le cul avec son obus tout en me traitant de pouffiasse, de chienne et de lopette avide de sexe.Je ne savais plus ce que je disais ni combien de fois j’ai joui tellement c’était intense et j’étais fier d’avoir pu gober par le cul ce que je n’avais pas pu le faire par la bouche.Je le sentis se raidir, il me prit les bras, les tira vers lui et poussa de toutes ses forces son ventre contre mes fesses, je l’avais en moi jusqu’à la garde, il ne bougea plus et son sexe fut pris de soubresauts avant de décharger une tonne de foutre qui m’éclaboussa les entrailles. Je me suis laissé tomber à plat ventre et dans ma chute, il s’affala sur moi, me fit tourner la tête et m’embrassa longuement et langoureusement tout en continuant à se vider les couilles dans mon trou qui devait être aussi grand qu’une gouttière.Il me laissa le cul en l’air et vint me présenter son zob devant mon visage pour que je le nettoie, ce que je fis avec bonheur et ayant terminé, il me dit de revenir le lendemain au même endroit, ce qui eut l’effet de me donner des palpitations car j’avais tellement envie de refaire la même chose mais je lui dis que ce serait bien s’il venait chez moi car j’habitais seul et que, dorénavant, je le considérais comme mon mari et qu’étant sa femme, il pouvait disposer de moi quand il voulait à la maison.Il a accepté et depuis, je suis comblé par tous les trous et dans toutes les positions à n’importe quel moment de la journée.