thérapie (2)
Datte: 05/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Fin du premier chat pitre. On élargit son cercle de connaissances. Sans entrer dans les détails, jusqu’à la fin de la semaine, ce fut comme des « just maried », pratiquant l’amour à haute dose, partout et tout le temps. Louis était insatiable du corps de sa mère et elle retrouvait une nouvelle jeunesse de sentir son fils qui lui apportait ce que son mari était incapable. Vint le week-end où Monsieur avait à nouveau beaucoup de travail à l’extérieur avec sa secrétaire. En fin de matinée, Luce se présente alors que le père fait ses adieux à la famille, l’air abattu par la montagne de dossiers à venir, et pas que des dossiers de chaises! – Bonjour Luce et au revoir, je me sauve, le travail m’attend, je n’arrête pas. – Je sais Pierre que le boulot est tout dans la vie, mon patron m’invite aussi à aller travailler avec lui le week-end, qu’est-ce que c’est dur. Mais c’est comme cela quand on a des responsabilités, il faut les assumer, bon travail, j’essayerai de distraire Nicole pendant ce temps-là ! Le pire, c’est que dans ces cas-là, il n’y a pas que le travail qui est dur. - Merci, mais je ne sais comment le dire, j’ai l’impression qu’elle est en train de revivre, je ne l’ai jamais vue aussi exubérante que ces derniers jours. Je serai bien resté si mon travail n’accaparait pas tous mon temps. – C’est pas grave, dans ce cas, c’est moi qui profiterai de son exubérance et profite bien de ton travail… – Qu’est-ce que vous voulez dire par là ? – Rien, mais dépêchez-vous, sinon votre ...
... travail va s’impatienter. Lance-t-elle perfidement. Une fois le père parti, Louis ne peut s’empêcher d’applaudir. – Bravo, vous lui avez bien cloué le bec. Je m’excuse pour la dernière fois que l’on s’est rencontré d’avoir été un peu grossier. – Ce n’est rien et vous avez tout le temps pour vous faire pardonner. Sur ces entrefaites, arrive Nicole qui ne voulait pas assister au départ de son époux et l’attendait pour se manifester. Elle se précipite sur Luce et la prend dans ces bras. – Je suis heureuse que tu aies pu venir, lui dit-elle en l’embrassant tendrement. Louis, les yeux hors de la tête, regarde ces deux femmes qui s’étreignent comme des amantes, il n’en revient pas. – Chéri, tu sais avec Luce nous étions dans le même internat de jeunes filles et on était très proche tout le temps, surtout ces derniers mois quand j’étais toute seule. – Oui, mais tu n’as pas l’impression que vous en faites un peu trop ? – Tu sais, c’est un peu comme pour toi, j’aime beaucoup Luce, mais laissons ceci, cela ne change rien de l’amour d’une mère pour son fils. – Tout comme j’espère que l’amour d’une mère pour son fils ne change rien à l’amour de celle-ci pour sa copine, répond-il moqueur. – Tu le dis si bien mon amour. Pendant que les deux femmes s’affairent dans la cuisine pour préparer le repas de midi, Louis monte dans sa chambre pour jouer un peu à la console de jeux. – Dis-moi un peu, j’ai l’impression que tu revis ma chérie. – Tu ne peux savoir mon bonheur, je ne te l’avais pas dit, ...