premier émoi
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
Sophie aimait à se balader dans les rues boisées de Nantes, où le bruit des voitures ne l'empêchait pas de flâner en esprit dans les luxuriantes forêts qui entouraient la ferme de ses parents. Elle avait toujours adoré la campagne et les bois et forêts où cette odeur particulière de l'humus la transportait à travers des mondes imaginaires peuplés de monstres divers et variés mais aussi d'animaux plus farfelus les uns que les autres. Elle retrouvait dans cette verte ville les sensations et plaisirs de son enfance, quand elle aimait se balader à moitié nue dans la nature où voisins et paysans aimaient la découvrir femme en devenir, ses charmes grandissaient à chacune de ses apparitions....-Bien que consciente qu'elle ne laissait pas son entourage insensibles à ces visons délicieuses qu'elle offrait inconsciemment à tous ces regards, tantôt désireux, tantôt plus lubriques, elle s'en moquait totalement laissant son esprit vagabonder au gré des senteurs riches en émotions et la tête pleine de musiques parfois enivrantes, parfois mélancoliques et son corps disparaissait au profit de ses pensées plus merveilleuses les unes que les autres....D'ailleurs, son corps, si elle en constatait régulièrement les évolutions en terme de forme et de volume, elle ne l'habitait pas vraiment mais s'en désintéressait complètement au profit de son imagination débordantes.Elle aimait la nature où elle libérait ses pensées de ses carcans physiques, leur permettant de vagabonder accompagnées de senteurs ...
... merveilleuses et de bruits en tout genre....Si sa vie était toute habitée de ses errances sémentiques, elle l'avait néanmoins encadrée d'une vie sociale, un tant soit peu ,et d'une vie « économique » qui l'avait quelque peu arrachée à ses repères paysagers et imaginaires qu'elle tentait de retrouver dans es balades où elle ne tenait que la verdure, s'attachant à effacer de son esprit les inévitables éléments urbains omiprésents dans une ville, même si Nantes avait su conserver le maximum de nature .Ainsi, elle vait intégré, depuis quelques temps, une entreprise où son plaisir des mots lui permettait d'exercer une fonction de communicante, qu'elle exerçait avec plaisir, convaincu que c'était un passager obligé pour laisser toute sa place à son imaginaire.Elle était alors entourée de collègues hommes et femmes mais aussi d'une hiérarchie que sa création bleuffait, même si les uns les autres avaient régulièrement de la difficulté à cerner cette fille, jolie mais sans excès, intelligente permettant d'inventer des créations étonnantes. Sophie était une collègue enthousiasmante mais dont on ne parvenait pas à se souvenir au-delà de la vie bureau et d'ailleurs qui n'était jamais invitée aux soirées et fêtes qu'une vie de collèges égraine au fil des saisons.Elle menait dès lors une vie d'ascète ,,réglée comme du papier à musique, alternant temps de travai, déplacement, courses et repas sur un horaire rigoureux qui ne laissait plus qu'à ces innombrables errances...Elle n'avait pas de ...