Il faisait si chaud - Histoires de Sexe

Il faisait si chaud

... celle-ci sur sa propre langue… Comme tu as décidé de mener l’aventure, tu appuies tes fesses sur le bord du lavabo, face à lui et, d’une main tu rapproches ses fesses de toi, et de l’autre tu saisis sa queue trempée par ta bouche et tu viens te branler avec quelques instants. Ce faisant, tu le fixes de ton regard le plus coquin et tu parles avec lui de vos envies et du plaisir que vous allez échanger… Puis tu glisses toi-même le gland dans ta chatte et tu viens t’empaler dessus d’un long mouvement lent de ton ventre. Ensuite, agrippée à ses hanches de tes deux mains, tu le baises vite car tu sais que le temps presse et qu’il ne va pouvoir tenir très longtemps ! Quand tu sens le foutre monter dans sa queue fichée en toi, tu te retournes pour lui offrir ton adorable cul, et tu reprends d’une main son sexe dégoulinant de ta mouille… Posé sur ton anus sensible, tu fais coulisser le gland pour bien lubrifier le passage, puis, lentement, tu te l’introduis dans le cul en gémissant doucement. Là, il prend l’initiative et défonce bientôt tes fesses, très vite et très profondément. Tes doigts viennent le chercher par dessous toi et tu les agites sur ses couilles et ta chatte libre ; très vite, tu sens qu’il va te remplir le cul et tu le sors pour le finir sur tes fesses. La giclée est si forte qu’elle remonte jusqu’à tes reins et, devant son regard, tu t’étales le foutre gluant sur le dos… puis tu lèches tes doigts pour les nettoyer. Quelques ablutions vous permettent d’échanger ...

... quelques mots et, à sa demande, tu lui promets d’échanger vos numéros de portables en vue d’une autre baise… Puis vous vous quittez, lui revenant le premier, et toi préparant le plateau des boissons que tu nous apportes ensuite, toute guillerette. Plus tard dans la soirée, quand nous serons seuls, tu viendras tout me raconter, à genoux entre mes cuisses ouvertes, tout en suçotant ma queue jusqu’à la mettre au dernier degré d’excitation… et, là seulement, tu viendras te planter dessus pour que j’aille arroser le fond de ton vagin surexcité… et tu grogneras ton plaisir de baiseuse ! À leur grande surprise, tu arrives juste habillée d’un petit ensemble en lin, jupe courte et droite et une sorte de caraco, en haut, laissant ton ventre et ton dos nus en partie ; la pièce de tissu ne fait que couvrir tes seins qu’on devine libres, et elle est juste reliée par deux petites bandes de tissu à ta jupe. Jambes nues tendues sur des sandales à talons… et, comme tu as très chaud, tu viens de te mouiller les cheveux courts. Avec ton sourire le plus aimable – mais aussi le plus envoûtant – tu leur demandes ce qu’ils souhaitent boire. Une fois enregistrée leur « commande », tu te disposes à aller la chercher mais le plus jeune, dans la trentaine, reste fasciné par le spectacle que tu leur offres… Comme tu te tournes pour aller chercher les boissons, il admire ton dos nu et ton cul à peine caché par la jupe, puis son regard suit tes jambes jusqu’à tes chevilles… Tu t’amuses à te retourner en ouvrant ...