Les mystères de l'Asie (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... calme, elle sécha ses larmes et prit une profonde inspiration avant de leur répondre : — Tout le monde est trop gentil avec moi depuis que l’autre abruti a profité de ma naïveté, plus aucun garçon n’ose s’approcher de moi, comme si j’étais une pestiférée, je suis en train d’étouffer dans un cocon, je n’en peux plus, je n’en peux plus. — Et tu voudrais quoi exactement ? lui demanda Liuyu — J’aimerais être comme toi, libre de coucher avec n’importe qui, n’importe où, et n’importe quand, dès que tu as envie de sexe, tu écartes les cuisses et un mec vient te baiser. — Ce n’est pas tout à fait ça, corrigea Liuyu, un peu troublée que sa meilleure amie voie sa nouvelle vie de débauche de la sorte. — Ça n’en est pas loin non plus, signala Matt, qui avait vu sa nouvelle petite amie avec plusieurs bites différentes dans la chatte depuis qu’ils étaient ensemble. — J’aimerais pouvoir être aussi libre que toi, qu’on arrête de me protéger, je ne suis plus une petite fille, j’ai envie de vivre, et... Elle n’osa pas continuer, mais Liuyu insista : — Et ? — J’ai un fantasme — Ah bon, lequel, dis-le nous, on pourra peut-être t’aider. — Ça va vous paraitre bizarre — Non, promis, on ne te jugera pas, et si on peut, on t’aidera à le réaliser. Barbara mit un moment avant de lâcher ce qu’elle avait sur le cœur et qui la faisait fantasmer. Elle leur dit : — Je rêve de me faire violer. Liuyu et Matt furent totalement stupéfiés et Barbara voyant leur désarroi leur dit : — Vous voyez, vous me ...
... trouvez bizarre. — Non, non, juste qu’on ne s’attendait pas à ça, lui répondit Liuyu. Matt prit quelques instants pour assimiler les informations, et conclut qu’en quelque sorte, Barbara voulait être prise par surprise, peut-être même forcée, sans doute parce qu’elle n’était pas prête à assumer le fait qu’elle aime le sexe. Alors il réfléchit et lui dit : — Je crois qu’on peut t’aider. — Ah bon ? demandèrent en chœur les deux filles, l’une un peu surprise, l’autre espérant que quelqu’un l’ait enfin comprise. — Oui, mais je ne peux pas te dire comment, sinon ce ne serait plus un viol. — Effectivement, admit Barbara. — Je vais tout de même avoir besoin de quelques renseignements sur toi, mais je suppose que tu racontes tout à Liuyu, donc je vais voir directement avec elle — OK, et donc ? — Donc rien, mais sache que... euh non, tu ne dois rien savoir — Ah... — J’en parlerais avec Liuyu quand nous serons seuls. La discussion se termina ainsi, et ils n’en parlèrent plus. Quand ils rentrèrent au restaurant, Liuyu lui demanda quel était son plan pour le fantasme un peu tordu de son amie. Il lui expliqua sa vision des choses et Liuyu lui avoua qu’elle n’avait pas vu les choses de la sorte, mais qu’il avait sans doute raison, son amie avait été traumatisée lors de son dépucelage, et depuis elle n’arrivait pas à concevoir qu’elle puisse prendre du plaisir dans le sexe et donc elle fantasmait sur le viol, pendant lequel elle pourrait se faire sauvagement baiser, tout en restant la victime. ...