Comment tout a commencé - Histoires de Sexe

Comment tout a commencé

... associée et tu lui donnes un soin ! Oui, d’accord, mais bon, il n’y a pas de mal à se rincer l’œil innocemment… Il n’y a rien de mal à joindre l’agréable à l’utile ! Je continue mon massage, et je ressens un pincement au cœur quand je me vois arriver à la fin du massage, déjà… Je contemple mon œuvre, mon associée toute détendue et abandonnée sur la table, je ralentis la cadence et finis par une petite tape amicale sur sa fesse. — Voilà, mademoiselle, c’est fini ! J’espère que ça vous a fait du bien !— Oh Florian, comme tu t’y prends bien, me dit-elle dans un souffle, c’était si bon, ça m’a fait un bien fou… continue encore un peu s’il te plaît, j’ai tellement besoin de réconfort…— Merci du compliment, lui dis-je. Allons, ajouté-je sur un ton enjoué, puisque c’est demandé si gentiment, un petit supplément pour le bien-être de la demoiselle ! Armelle émet un petit soupir de contentement et se laisse aller un peu plus encore sur la table, en écartant un peu plus les jambes, imperceptiblement, sans doute par relâchement, me dis-je. La situation commence à me troubler, me ravir et m’émoustiller un peu. Armelle est si belle, et c’est si agréable et gratifiant de masser une jolie femme ! Je choisis pour cette nouvelle session une huile essentielle délicatement parfumée. C’est un massage de confort, je ne pétris plus autant, mais j’effleure davantage. Je fais doucement rouler sous mes doigts la peau des mollets galbés d’Armelle. Mes mains se font plus caressantes aussi en remontant ...

... le long de ses cuisses. Quand j’arrive de nouveau à ses admirables fesses, j’ai un petit scrupule car je sais pertinemment que le pétrissage des fessiers que je pratiquais tout à l’heure n’aura pas du tout le même effet si j’en ralentis la cadence. En clair, un pétrissage lent et sensuel de la croupe peut enflammer les sens, et j’hésite… Et puis je remarque alors que les grandes lèvres d’Armelle se sont disjointes, et que ses petites lèvres roses sont tout humectées déjà… C’est un signe qui ne trompe pas, et, en un instant, tous mes scrupules sont balayés. Allons-y ! Abandonnons-nous à l’instant présent qui est si magique pour elle comme pour moi ! Je saisis les fesses d’Armelle à pleines mains, avec douceur et fermeté. Mon pétrissage est plus lent, et rapidement ma jolie associée ne peut réprimer un doux balancement du bassin… elle gémit légèrement maintenant, et ses lèvres intimes s’humidifient de plus en plus… L’instant est divin et je ne veux pas en précipiter la fin ! Massant une fesse à la fois, je vois parfaitement sa jolie raie et son œillet, à la vérité, superbe ! Je sais par des blagues et des discussions passées qu’Armelle n’est pas rétive à la sodomie, et je me dis qu’elle appréciera bien un contact digital… Je fais en sorte alors que la longueur de mon petit doigt, puis tout le tranchant de la main, coulisse bien au contact de sa raie et de son anus. Des petits soupirs et quelques mouvements des hanches me confirment que j’ai tapé dans le mille. Je me mets sur son ...