MONSIEUR HURST - PARTIE 4
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Anal
Gay
Lesbienne
... deux compagnons décidèrent de revenir plus tard voir ce qu’on appelait « le mur des tribades ».« Ah tiens…un ami », dit Hurst« Albert..je te présente Richard », dit Hurst à un homme un peu grassouillet et court, vêtu d’une longue tunique blanche à travers laquelle on percevait ses poils et un peu de sa peau.Richard répondit par un signe de la tête et un sourire.« J’ai déjà visité votre boutique », dit Richard qui avait reconnu l’antiquaire « Oui ..je me souviens…il y avait du monde…malheureusement », dit l’antiquaire avec un sourire qui en disait long.« Justement j’allais assister, comme invité, à une petite rencontre. Vous aimeriez peut-être m’accompagner ? », dit AlbertLes deux compagnons accompagnèrent Albert dans un dédale de chambres et de salles avec plafonds décorés au XVIIIe siècle. Ils arrivèrent à une porte fermée mais devant laquelle il y avait des chaises et des vêtements. Les deux hommes se déshabillèrent complètement et Albert garda sa tunique. Albert frappa trois petits coups à la porte qui s’ouvrit. Les trois hommes pénétrèrent dans une petite chambre, presqu’une chambre de bonne, qui contenait un lit qui occupait toute la place sauf quelques mètres autour. Comme tous les hommes dans la chambre étaient nus, Albert enleva sa tunique. Certains spectateurs sirotaient un verre de champagne, d’autres fumaient, ce qui ajoutait à l’atmosphère érotique des plaisirs défendus. Ça sentait l’homme, la sueur et le sexe. Sur le petit lit deux couples masculins se ...
... caressaient. Deux hommes de près de 60 ans se suçaient en 69 et tout à côté, les touchant souvent, un jeune couché sur le ventre qui se faisait entuber par un homme un peu plus âgé. Aussitôt l’orgasme atteint, les couples laissaient la place à ceux qui attendaient.Voyeurs, étalons, boniches, tous faisaient partie de ce groupe bigarré qui ne cherchaient qu’une chose : le sexe entre hommes.Hurst se doutait bien que Richard et l’antiquaire s’étaient frottés l’un à l’autre en cette journée de visite mais n’avais pu poursuivre leur aventure. Il vit Richard défendre sa boniche contre les avances des autres étalons. Le lit était décidément trop petit et quelques couples se suçaient le long des murs. Les hommes présents n’étaient pas des ouvriers, des cheminots ou même de petits comédiens de théâtre, mais des financiers, des écrivains connus, des hommes politiques, des avocats et des médecins. C’était cochon. Ils étaient tous venus pour le sexe. Hurst s’aboucha avec un avocat à favoris plus vieux que lui. L’échange de langage était ordurier. Il sentait l’alcool. Hurst le força sur le dos, ses jambes sur les épaules du journaliste et lui plongea la bite entre les fesses. Une douzaine d’hommes au moins, tous nus, des jeunes et des beaucoup moins jeunes se cherchaient, se caressaient les fesses et la bite bien bandée. La plupart ne se connaissaient pas et c’étaient la chasse à la jouissance avec l’inconnu. La plupart étaient maintenant en couple, certains étaient partis assouvir leur désir plus ...