1. Pont entre générations


    Datte: 09/05/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, vacances, vengeance, Oral 69, pénétratio, hdanus, hsodo, confession, couple+f,

    ... et, la libérant, l’avait guidée pour qu’elle s’appuie avec les mains contre le tronc. Elle n’avait pu retenir un délicieux « Ahhh… » lorsqu’il l’avait possédée d’un coup. Un peu effrayé de sa propre audace, il s’était immobilisé, craignant d’avoir alerté ceux qui bavardaient de l’autre côté de la haie. C’est Martine qui l’avait « réveillé » en se tortillant, cherchant à se baiser sur le mandrin. Il avait alors repris. Son envie était terrible, s’attendant à chaque instant que quelqu’un remarque ce bruit si particulier d’un ventre qui claque sur des fesses. Il avait peur, mais aussi envie. Cette situation l’excitait. Martine devait avoir connu ce genre de situation, mais lui, pas vraiment. À chaque instant, bourrant sa maîtresse de plus en plus vite, de plus en plus fort, il s’attendait à entendre : — Chut ! Vous n’entendez pas ce bruit à côté ?— C’est vrai, on dirait… C’est régulier…— Oui, moi aussi. On dirait un couple qui…— C’est chez Martine.— Alors ce n’est pas ce que vous pensez : elle est veuve, et puis… trop vieille pour ce que vous pensez. Mais non, elle n’était pas trop vieille. Hugo se traitait de con. Même en imaginant les dialogues, il faisait allusion à l’âge de sa maîtresse. Pourtant, c’est une jeune fille qui se tortille sous ses assauts. Une jeune fille qui a bien du mal à ne pas parler. Hugo est le plus heureux des hommes. Martine jouit à nouveau et lui vient… vient… se déversant dans la chatte onctueuse. __________________________ Il ne sait pas si c’est le ...
    ... bruit de la douche ou cette sonnerie insistante qui le réveille. Martine est manifestement dans la salle de bain ; lui a dû se rendormir. Il faut dire qu’il a eu le plus délicieux des réveils : sentir son sexe grossir dans la bouche d’une femme. Cette femme qui vient le chevaucher, mais, cavalière ondulante, plus marche que trotte ou galope. Il avait eu son plaisir, et elle aussi. La journée avait bien commencé. Mais la sonnerie insiste. Martine n’entend pas. Hugo se lève. Il enfile le slip qui est resté sur le sol. Il va aller voir. Il débloque la serrure et entrouvre la porte afin de voir, mais que le visiteur ne le découvre pas dans cette tenue. — Bonjour, Hugo ! Merde, c’est Léonie ! Il ouvre la porte entièrement. Elle le découvre en slip. — Je te dérange ? Tu dormais peut-être…— Non, non. Mais qu’est-ce que tu fais là ? D’abord, comment tu as eu mon adresse ?— Tes parents. Ce sont tes parents qui m’ont donné cette adresse.— Ah ; et pourquoi tu es ici ?— Je voudrais te parler. La surprise passée, Hugo est troublé. Depuis des semaines il essaie de chasser Léonie de sa mémoire, et elle réapparaît devant lui. Il ne peut s’empêcher de la trouver belle. Il remarque même qu’elle porte une robe, cette petite robe moulante qu’ils ont achetée ensemble et qui lui va si bien. Pourtant, c’est une robe – même si elle est simple – qui est plutôt du soir, ou de fête. Comme il ne répond pas, elle reprend : — Je voudrais te parler. Mais pas sur le pas de la porte. Je peux entrer ?— Oui. ...
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