Pont entre générations
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
vacances,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
confession,
couple+f,
... couilles. Le « Je t’apprendrai… » de sa maîtresse à son ex est une autoroute pour le plaisir. Serait-ce par hasard – ou un hasard voulu par Martine – que les lèvres des deux femmes se touchent ? Que le simple contact prend des nuances plus appuyées, que le tendre baiser se transforme en volcan ? Martine tient la tête de Léonie entre ses mains, et l’on voit qu’elle l’embrasse goulûment ; mais Léonie ne se dérobe pas. Hugo comprend à cet instant que son ex est vraiment prête à tout pour le reconquérir. Il sait qu’elle n’aime pas le spectacle de deux femmes, comme celui de deux hommes, d’ailleurs. Cela l’a toujours étonné, cette contradiction d’une sexualité libérée pour elle-même, mais refusant ce plaisir, l’amour en sus, pour les couples d’un même sexe. Elles se redressent. Les voici corps contre corps. Elles ont la même taille, et il peut voir les seins se frotter, les pubis se souder. Martine a libéré le visage. Ses mains maintenant explorent sa partenaire. Elle la pousse contre le lit, juste à côté de lui. Léonie s’allonge de tout son long, maintenant que Martine a libéré sa bouche. Une Martine qui la caresse. Hugo découvre son ex troublée par une autre femme. Mais après tout, quelle différence avec les mains d’un homme qui caresse ? Quelle différence avec les lèvres d’un homme qui suce un téton ? Quelle différence avec la bouche d’un homme qui trace son sillon partant des seins, passant par le nombril et qui plonge dans l’intimité ? Hugo est spectateur. C’est délicieux. ...
... Son ex qui se laisse séduire par une femme, au début peut-être contrainte, mais maintenant consentante. Bien sûr consentante, sinon pourquoi gémit-elle alors que Martine la suce ? Pourquoi ouvre-t-elle les cuisses, si ce n’est pour laisser plus de liberté à son amante ? Pourquoi ferme-t-elle les yeux, toute concentrée sur son plaisir ? Il se penche sur elle. Lorsque ses lèvres touchent celles de Léonie, elle s’éveille. Dans son regard, un abîme. Dans sa bouche, le miel. Par sa langue, le feu. Tous deux savent maintenant que la page est tournée. Mais c’est la page d’un autre livre ; Léonie n’en connaît pas encore la suite, mais déjà Hugo y prépare des aventures. Déjà il voit Martine commencer sa propre écriture. Elle quitte la fente de sa partenaire pour venir l’enjamber dans un 69 torride. Si Hugo est privé de la douceur des lèvres de son ex, il sait que d’autres lèvres, plus épaisses, plus charnues viennent les remplacer. Les cuisses de Martine le privent du spectacle, aussi il recule sur le lit pour mieux voir. Il voit la chatte de sa maîtresse se faire sucer et lécher par Léonie. La langue de Léonie, la bouche de Léonie… Même le nez de Léonie participe aux caresses. C’est beau. Pervers. Même dans ses rêves qui le laissaient quelquefois encore souillé de son propre foutre lorsqu’il était privé de sexe pendant plusieurs semaines, il n’avait envisagé pareil spectacle. Il bande si fort que c’en est presque douloureux. Soudain il sait ce que sera la page suivante. Il s’agenouille ...