Pont entre générations
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
vacances,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
confession,
couple+f,
... l’étroit dans leur étui. « Quoi de plus beau qu’une femme accroupie devant soi ? Une femme que je viens de faire jouir et qui découvre ma queue dont on m’a plusieurs fois fait compliment… » pense Hugo, savourant l’instant. On l’a déjà sucé, bien sûr, mais dès que les lèvres de Martine s’emparent de son gland, il sait que l’expérience va parler. Combien de ses rencontres croyaient qu’une branlette, qu’un coup de langue, voire un début de gobage suffit ? Seule Léonie – la garce ! – avait appris ce qu’un homme aimait. Elle aussi au début se comportait comme un chiot, lapant plus que suçant. La garce… C’est maintenant à un autre qu’elle doit appliquer tout ce qu’il lui a appris. La caresse des mains sur ses fesses le trouble. Jamais on ne lui a fait cela. Elles partent des reins, descendent par l’extérieur des fesses, se rassemblent vers les cuisses, effleurent ses couilles et remontent alors que des doigts écartent son sillon et s’arrêtent une ou deux secondes sur l’anus avant de repartir. Maintenant les lèvres progressent. Au début, elles se sont attardées sur le gland, puis dans la partie si sensible de la couronne, et ont commencé un lent mouvement de haut en bas. Chaque descente est un peu plus profonde. La tête de Martine cache sa fellation, mais Hugo sent bien que progressivement sa queue disparaît de plus en plus dans la bouche. C’est bon. C’est beau. Et puis il sent une pression à la base de la hampe, une chaleur sur le ventre, un chatouillis sur ses couilles. Martine ...
... l’a gobé totalement. C’est l’air chaud de sa respiration qu’il sent. C’est sa langue, manifestement encore agile malgré la taille de la bite, qui chatouille ses couilles. Et puis elle l’abandonne. Sa queue réapparaît. Elle brille. Le regard de Martine est trouble ; ses yeux sont le marqueur de son exploit. De sa bouche des filets de salive tombent. D’autres tirent des fils entre queue et bouche, comme un lien indéfectible. Elle lui sourit. Elle est belle, même si son visage est tourmenté. Rien à voir avec la Martine qu’il connaissait. Mais déjà elle replonge. Chaque fois, c’est encore meilleur. Elle suce, lèche, le pompe avec une avidité affirmée, l’enfile au plus profond de sa gorge. Hugo sent qu’il ne va pas pouvoir tenir bien longtemps devant tant d’adresse. Bien sûr qu’il reconnaît la femme d’expérience qui a dû en sucer, des queues, du temps de son mari. Mais surtout, c’est l’envie affichée. Martine le fait avec gourmandise. Elle grogne comme si elle aussi avait du plaisir. — Attention, je vais venir… Hugo prévient sa suceuse qu’elle doit se retirer, mais c’est comme si elle n’avait rien entendu. Juste une pression sur son anus. Un doigt qui force l’entrée. Un doigt qui bouge doucement. Et c’est irrépressible. Il sent sa semence venir. L’orgasme est là. Martine ne bouge pas. Il est trop tard pour elle : déjà le premier jet arrive, les autres suivent. Pour la première fois de sa vie, il décharge dans la gorge d’une femme. Même Léonie ne l’a jamais accepté, et pourtant Hugo ...