1. Annie et son amant


    Datte: 09/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je l’attends, il m’a fait venir et il n’est pas là . Je porte ma jupe rouge comme il me l’a ordonné, des bas noirs avec un porte jarretelle, un corsage noir et une petite veste courte par-dessus. Didier mon amant est exigeant sur mes tenues, je dois m’habiller avec des jupes ou des robes courtes et jamais de dessous, c’est ses ordres et moi, j’obéis. Mon mari est ravi de mes nouvelles tenues, je lui ai dit que je voulais satisfaire ses demandes passées que j’avais toujours refusée. Perchée sur mes hauts talons, je fais des va et viens dans le fond de cette petite place de l’église, avec ma courte jupe je ne ressemble que très peu à une bigote d’église qui attendrait la messe, mais plutôt à une professionnelle du sexe. Un homme s’approche, il me regarde m’observe, me reluque de haut en bas. J’ai honte je comprends qu’il me prend pour une tapineuse c’est vrais que ma tenue prête à confusion, et mes vas et viens me donnent l’allure d’une putain. Je ressens une forte émotion cette situation dégradante m’humilie, j’ai honte, mais en même temps, je suis excitée, et sans me rendre compte je me prête au jeu machinalement. Je commence à tortiller mon cul allant et venant dans cette allée ombragée de marronnier. Je le trouve mignon mon admirateur, je lui fais un sourire, je réalise que la honte mélangée au désir me provoque du plaisir qui humidifie ma chatte que le vent frais sous ma jupe fouette la cyprine qui enrobe les lèves de mon sexe. Je suis arrivée naturellement dans la peau ...
    ... de cette salope qui tapine. Enfin Didier s’approchait au loin, je me dirigeais vers lui , vers cet amant puissant et dominateur qui me faisais venir à lui suivant son bon vouloir sans même avoir la correction d’être à l’heure. Sa forte autorité m’asservissait à lui, je ne discutais pas ses demandes, je savais qu’elles étaient des ordres non-discutables. Didier m’avait tout de suite impressionnée, Il m’avait abordée avec assurance et m’avait donné rendez-vous pour le lendemain sans savoir si je voulais ou non. Et à cette première rencontre, il m’avait briffée, une femme qui trompe son mari , n’est qu’une salope une putain et il m’avait fait comprendre que je ne représentais que ça pour lui . Je devenais sa pute et devais me réjouir que cet homme marié à une femme honorable ait la bonté d’honorer mon petit cul de pute. Quand j’entendis sa voix mon corps commençait à trembler comme une chienne qui retrouve son maître. Qu’allait-il encore me faire ou me faire faire, il me parlait avec fermeté. Je sautais à son cou et lui donnais ma bouche, sa main passait sous ma jupe, il contrôlait ma nudité. Nous étions à quelques mètres du type qui me regardait, Didier releva ma jupe pour bien lui montrer que j’étais une salope sans-culotte. J’avais encore plus honte, Didier invita l’homme à s’approcher. Il fit des éloges sur mon aptitude de salope, sur ma capacité à satisfaire les hommes. J’étais écarlate, et j’entendis mon amant dire . Vas-y, tu peux la tripoter elle ne demande que ça cette ...
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