Match retour
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
fh,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
tutu,
merveilleu,
... partie d’escrime cela se fait debout, Tu attrapes le chevalier par la racine de son glaive l’obligeant à se relever, et tu l’attires au corps à corps. Il va falloir te décider avant que le glaive du chevalier soit fondu sous la chaleur du soleil, mais tu as encore envie de rêver, de te montrer audacieuse, provoquer le loup en t’enfuyant à quatre pattes, lui présentant toute ta splendeur, lui offrant le choix du terrain pour sa démonstration d’escrime. Ô Lutine du bois magique, le nain saltimbanque, un peu voyou, se demande qu’elle suite il va devoir jouer, il t’aurait bien proposé de jouer de la flûte, mais il ne sait pas si tu aimes cet instrument de musique. Finalement, tu as peur d’effrayer ton chevalier servant, tu lui dis en l’aidant à se lever — Ô Chevalier, attrape-moi, montre-moi ta force… Et tu t’enfuis vers le centre de la clairière en pensant que le concours de t-shirt mouillé à l’eau froide est un aller simple pour une visite au docteur, (ce serait amusant, une Lutine un peu timide visitée par le docteur voyou). Quand tu sors de tes pensées, tu as traversé la moitié de la clairière, ton petit derrière dansant pour affoler l’envie du loup qui te poursuit, la course-poursuite se termine par une chute sur le tapis de feuille, l’espèce de chevalier voyou terminant sur ton dos, quand il essaye de t’attraper les mains, tu sens sa poitrine massant ton dos à travers ton chemisier et son glaive se promener sur tes formes généreuses. Tu ondules comme un poisson au bout ...
... d’une ligne, avec le faux espoir d’échapper au prédateur qui vient de t’attraper, ce body massage est très agréable. Tu sens le glaive venant flirter tour à tour avec tes deux boucliers bien bombés ne trouvant pas le chemin de ta vallée de l’amour. Cette fois une main du chevalier voyou vient se glisser entre le tapis de feuille et ton corps, essayant de se faufiler dans tes protections des zones charnues et sensibles de ta poitrine. — Ô Voyou satyre, cochon lubrique que vas-tu faire ? Tu n’as pas le droit, je ne t’ai pas autorisé. Mais tu continues à onduler de tout le corps, aidant ma main à s’infiltrer dans tes défenses, tes boucliers gardant éloigné le glaive de son étui, aiguisant son agressivité et son ardeur au combat. Quand tu sens que le beau chevalier risque d’atteindre sa cible, comme par magie et aussi vive qu’une carpe, tu te retournes pour le défier du regard et lui monter que tu n’as pas peur, tu seras aussi vaillante que la chèvre de ce pauvre Monsieur Seguin. Nos visages sont l’un en face de l’autre, tu as arrêté de bouger, tu te rends, laissant tout loisir à ce loup chevalier de profiter du butin de sa chasse. Ô Lutine du bois magique, tu attends l’attaque, tes yeux me dévisagent, tu me regardes, silencieuse, la bouche entrouverte, les bras le long de tes hanches, prête à te rendre, tu t’offres et tu attends. Tu ressens une légère frayeur, la peur de l’inconnu, mais vaincre ta timidité serait une plus grande victoire que cette reddition offerte à ce chevalier ...