Match retour
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
fh,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
tutu,
merveilleu,
... cru, et de le dévorer rapidement, ta bouche suivant tes envies, tu viens poser tes dents à la base du bout, et doucement tu commences à refermer ta bouche, ta langue malaxant le sommet de la hampe. Je ne peux retenir de petits gémissements, ni refréner les tremblotements de mon bassin, le sucre d’orge commence à danser sur place, la base coincée dans tes dents et massée par le frottement de tes lèvres, tu sens la tension monter dans tout ce petit dard, tu souris, tu te dis, que plus la tension va monter, plus vite il va exploser, et se vider, alors tu le pomperas, le vidant de sa créativité lubrique. Rétractant tes dents, tu commences de doux massages sur la hauteur du bâton, tu l’avales presque entièrement, puis remontant tes lèvres sur le bout arrondi. Le sucre d’orge commence à sauter sur place, les tentacules malaxant tes globes commencent à être tendues, un peu plus brusques, tu entends les spectateurs gémir de plaisir devant la représentation donnée par tes doigts. Tu commences, tout en faisant coulisser tes lèvres sur ce beau bâton, à essayer de l’aspirer, afin d’en extraire plus rapidement un maximum de substance liquide, doucement tu augmentes la cadence, il te semble que le sucre d’orge s’allonge encore ; quant tu étais petite fille et que tu en suçais un, plus tu le suçais, plus il devenait petit ; Ici il est mignon à croquer au début, et plus tu le suces, plus il grandit et augmente de volume. Ah ! Petite fille comme tu aurais été contente d’en avoir un comme ...
... celui là, tu l’aurais sucé toute la journée, plus tu le sucerais, et plus il grandirait, il t’aurait donné du plaisir à l’infini. Celui ci, il est plus doux au toucher et moins sucré, bien gros, tu as le ventre en feu, tu sens mon regard, captivé par les acteurs continuant à jouer dans ta grotte intime, et tu entends mes gémissements de plaisir, ainsi que mes gentils commentaires, demandant aux acteurs de la pièce de mieux ouvrir les rideaux, tu sens monter dans ton ventre une houle de chaleur, et ta petite chatte se liquéfie, ton ventre est en feu, tu as une grande envie de calmer cette démangeaison, certes agréable, mais déchaînant en toi des envies de mâles en rut. Brusquement, rapidement, tu te retournes, et te plaçant accroupie sur moi, tu t’empales sur ma bite, faisant de petits mouvements du bassin, alors que de ta main gauche tu gères ton équilibre, les doigts de la droite s’occupent de ton clitoris, rouge sang et littéralement en feu. À califourchon, sur ma bite, tel un hussard, tu tressautes sur ta monture au rythme du galop, tu sens la selle humaine vibrer au même rythme et le bâton de sucre d’orge venir caresser le fond de ton puits d’amour. Tu agites ta tête de gauche à droite, ta crinière désordonnée, tressautant elle aussi de gauche à droite, telle une walkyrie sur le chemin de la guerre. Brusquement, tu sens un tir ennemi, venir se vriller au plus profond de ta chair, le sucre d’orge s’est encore raidi, s’enfonçant au maximum dans ton bas-ventre, ce tir assassin, ...