Les nièces jumelles (5)
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pour m’exciter encore plus, bande de petites salopes ! Elles me branlent chacune d’une main comme pour me traire. Je perds la tête en sentant mon jus grimper le long de ma verge. Je grogne quand j’expulse un premier jet. Il atterrit sur Megan, une belle trainée, des cheveux au menton. Un second tout aussi copieux sort pour salir Lucy. Elles dirigent ma bite de l’une à l’autre pour répartir mon sperme équitablement. Je n’avais pas joui depuis des jours et je me suis retenu pendant si longtemps que je n’arrête pas de gicler. Je me vide entièrement les couilles sur elles. Je pousse le râle d’un male heureux de souiller ses femelles. J’ai l’impression de marquer mon territoire. Mon sperme qui coule sur leurs figures est une façon de dire : "pas touche, celles-là, elles sont à moi". Je n’en reviens pas de la quantité de foutre que je leur donne, je n’ai jamais éjaculé autant, ni aussi fort. Elles continuent de me branler en riant comme si c’était amusant. Elles ralentissent quand mes jets deviennent moins puissants. Ma queue continue d’avoir des soubresauts même quand plus rien n’en sort. Elles me pressent la verge comme pour l’essorer, puis me sucent encore un peu. Il doit ne plus avoir une seule goute de jus dans mes bourses. Je suis en train de ramollir lentement, comme un sportif qui se repose après avoir couru un marathon. — Alors tonton, ça t’a plu ? me demande Lucy. — Oh putain, oui. — Tu aimes voir ton sperme dégouliner sur moi ? me demande Megan à ...
... son tour. Ça te plait ? — Oh ça oui, tu es magnifique comme ça. Ça, pour dégouliner, ça dégouline, elles en ont partout sur le visage. Il y en a même qui coulent sur leurs gros seins. Elles en rigolent, comme si c’était un jeu. — Je crois que tonton est un gros pervers qui aime éjaculer sur ces nièces, commente Megan. Je ne peux pas le nier. Je me dis qu’elles vont avoir besoin d’une bonne douche quand, complice, elles s’embrassent entre elles. Je n’en crois pas mes yeux, elles se partagent mon sperme avec leurs langues. Il y en a tellement que des filets les relient lorsqu’elles s’écartent un instant. Elles ne s’arrêtent pas là et vont jusqu’à faire leurs toilettes. Comme des petites chattes, elles se lèchent le visage pour récolter mon foutre. Elles se caressent, et se nettoient mêmes les seins. Putain, mes petites nièces sont des salopes accros au sperme. Si je ne venais pas de me vider entièrement les bourses, je rebanderais et je les rebaiserais. Lorsqu’elles ont fini, il n’en reste plus rien, elles ont tout avalé. Elles rient en voyant ma réaction abasourdie. Nous avons fait une petite sieste après cela, tous les trois dans mon lit, serrés l’un contre l’autre. Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma vie. Ensuite, nous nous sommes levés et nous nous sommes rhabillés. Ça me rend fou, elles ne sont même pas passées par la salle de bain, elles doivent être encore toutes collantes. Je sens que les jours qui vont suivre vont être très intéressant.