1. Parenthèse avec ma tante


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou

    ... s’associant à mon désir de la voir être caresser par un nuage de pluie. Ma bouche toute entière s’accapara les lieux, mes mains glissèrent de dunes en dunes, admiratifs de ce sable fin et si lisse.Une tempête de sable se fit jour, aussi mes mains tels de preux chevaliers trouvèrent refuge au pied de deux colline, sorte de dunes perchées. La source se mit à gronder, mes doigts rejoignirent leurs sommets pour faire face à l’indomptable. Maladresse de leurs parts puisque la tempête s’accentua sous la pression qu’ils exerçaient !Il me fallut me mettre au bas de cette source abondante, m’abreuvant de ce liquide à la fois limpide et mystérieux. La gardienne émit quelques sons, semblable à des gémissements de pure bien-être, ressentant la présence physique des chevaliers sur la crête de ses dunes. Face à ce tourbillon, ce tumulte, je pris la décision d’abandonner la source pour me redresser, faisant face à la propriétaire de cet endroit délicieux, fascinant voire paradisiaque. Le ciel se remplit de nuages menaçants, l’obscurité prit place.Confuse, elle me conjura de satisfaire aux appels ininterrompus de sa source affolée. Devant un tel ...
    ... désarroi, il me fallut administrer un soulagement, une sorte de réconfort à cette oasis en folie. Elle me glissa la solution en me murmurant d’une voix faible.- Comble-moi Jean…Et soudain, le tonnerre gronda et un éclair illumina les dunes, les crêtes, la source tant convoitée. Des perles de pluie se répandirent sur l’anatomie de Chantal pour rapidement se disperser, ce fut le signal pour goûter à cette oasis.Mon sexe fit connaissance avec les lèvres chaleureuses de ma tante, tant excitée qu’elle s’avança pour se faire pénétrer. Je la saisis par les hanches, elle s’arc-bouta et progressivement, ma verge en fureur prit possession de son corps sous nos yeux soudés. On a beau dire, mais les préliminaires sont élémentaires pour réussir un accouplement que l’on souhaite d’une rare intensité. Nous n’échangeâmes pas le moindre mot, nous n’entendîmes que nos souffles respectifs.Chantal resta inerte, me laissant le champ libre et des remous nonchalants apaisèrent ma douce dans un premier temps. Elle se soulagea de m’avoir en elle, la nonchalance céda à la vivacité, les remous devinrent tourbillons et nos souffles muèrent en langueurs gémissantes… 
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