Histoire avec une collègue
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
extraconj,
... ensemble. Mais là, je n’ai qu’une envie c’est de faire toutes les choses « interdites » avec toi, me lâcher pour ne rien regretter. » ****************** Quand je rentre de la cantine je vois son message. Je suis toute étourdie. J’ai envie de lui sauter dessus et de faire l’amour directement sur le bureau, sans préliminaires, devant tout le monde. L’après-midi se passe lentement, j’ai du mal à me concentrer sur mon travail, mais je ne peux pas correspondre avec François, il est constamment dans le bureau de son chef ou en réunion. Je me sens frustrée. Il revient à son bureau vers 18 h 30. Je l’inonde de message : Il me répond enfin. Je me lève sans même réfléchir, passe devant son bureau sans le regarder et me dirige comme une automate droit dans les toilettes des dames. Je soulève ma jupe et commence à me masturber, je m’accroupis et rentre un doigt dans mon vagin. Il voulait du porno, il va en avoir. J’expédie les fichiers honteux (en vérifiant par trois fois avant d’appuyer sur la touche envoi) et attends sagement et quelque peu nerveusement sa réaction. Gros coup de chaud. J’apprécie décidément beaucoup les mots crus… Je repars dans le même manège. Me revoilà dans les toilettes des filles, mais avec un problème comment faire seule une photo de ses seins avec un téléphone portable. Je suis obligée de me prendre en photo dans le miroir, je pourrais me faire surprendre par une collègue. Bizarrement (ou non) cette situation m’excite encore plus. J’ouvre mon chemisier en ...
... grand et prends plusieurs photos de mes seins et de moi en train de caresser mes seins. Ils pointent comme jamais quand je reviens à ma place. J’ai l’impression que tout le monde sent que je dégage l’odeur du sexe et voit mes tétons qui pointent à travers mon haut, montrant que je suis une pouffe venue se faire sauter. Je m’exécute comme un bon petit soldat. Mon chemisier est très ouvert, on voit entièrement le sillon qui sépare mes deux globes et, avec mes seins qui pointent, je dois avoir l’air d’une pute. 20 h, plus personne dans les bureaux. Je ne vois plus François. Je panique un peu, commence à faire le tour du plateau pour voir si je ne le trouve pas quand soudain je sens deux mains qui m’attrapent par la poitrine. Elles caressent mes seins à travers mon chemiser. Ses messages de ce matin me reviennent en mémoire en même temps que je lui susurre à l’oreille. — Je te veux en moi ! Je veux que tu me prennes ! Il me pousse contre le bureau le plus proche, me plaque contre la table. Je me cambre sous la pression pressant mes fesses contre son sexe. François commence également à ne plus maîtriser son excitation face à cette situation. Il saisit ma jupe sur les côtés, la remonte violemment sur mes hanches. Je sens avec précision la bosse dure de son sexe se nicher entre mes fesses. J’entends le glissement de sa braguette. Je sens brusquement sa verge dure et chaude battre d’abord contre mes fesses avant de se couler entre mes cuisses, se plaquant contre mes grandes lèvres, ...