Histoire avec une collègue
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
extraconj,
... moyenne, mais une belle et droite, le gland légèrement violacé avec des bourses pleines et bien gonflées. — Je peux, me demande-t-il en entrant dans la douche.— Évidemment. Tu me savonnes ?— Volontiers. Il entreprend de savonner mes épaules puis descend le long de mon dos jusqu’à ma chute de reins. Le contact de ma main nue au travers du gel douche sur ma peau est incroyablement doux. Il se met à me pétrir les fesses, je viens au-devant de ses caresses, puis ses mains remontent pour s’occuper de mes seins. Il les prend, les malaxe, joue avec mes pointes. — Tes seins sont magnifiques ! Ils sont parfaits gros et fermes à la fois. Je ferme les yeux. ****************** — Ça ne va pas ?— Si, si. N’arrête surtout pas. Je suis très sensible des tétons. Je sens les pointes de ses seins se dresser, devenir énormes et très dures. Je continue par mouvements circulaires à effleurer ses pointes de la paume de mes mains. J’entreprends alors de descendre une main alors que l’autre s’attarde toujours à sa poitrine. Je descends lentement, pour finir par atteindre le pubis. Elle écarte d’elle-même légèrement ses cuisses et je lui masse le sexe. Ensuite, je m’agenouille, je croise son regard enfiévré juste avant de plonger entre ses jambes, le nez appuyé contre son pubis, ma langue s’écrase contre son clitoris, lui arrachant un long soupir et un profond frisson. — Oh que c’est bon. Vas-y, continue. ****************** En quelques secondes, mes muscles sont littéralement liquéfiés, tout mon corps ...
... est enivré par les caresses buccales de François. Sa langue passe de mes petites lèvres à mon clitoris, enflé, rougi et luisant. Je me laisse aller, ne contrôlant plus mes gémissements. Je passe une jambe sur son épaule pour qu’il me pénètre encore plus loin avec sa langue. François profite de mon changement de position pour enfoncer les phalanges de son majeur dans mon sexe, effleurant le renflement de mon point G… s’y attardant, me faisant glapir et gémir, je ne mets pas longtemps à jouir pour la troisième fois de la soirée. — Oui. Comme ça. Oh oui. Encore. Encore. Encore. Je jouis. Après cette douche coquine, nous regagnons la chambre. Nous avons tous les deux besoins de reprendre des forces. Nous enfilons tous les deux les peignoirs de l’hôtel pour déguster notre en-cas. — C’est une folie, cette nuit, cette histoire.— Tu n’as pas aimé ?— J’ai joui trois fois. J’ai mal partout mais je n’ai pas envie que ça s’arrête— Tu es insatiable J’ouvre mon peignoir — Ils te plaisent toujours mes seins ? Viens les bouffer ! ****************** Un bonheur que ces deux pommes bien fermes et pleines, que ces tétons hérissés qui réagissent sous la langue. Je lèche, mordille ses deux seins magnifiques. D’une main elle s’inquiète de l’état de ma virilité : — Je l’ai connue plus en forme, mais t’en fais pas je vais y remédier ! Enfin, après avoir plissé ses yeux coquins, elle se glisse contre moi, plus bas, afin de réveiller ma verge. Elle m’embouche, petit à petit mais rapidement, comme elle ...