1. Un salon de coiffure qui décoiffe !


    Datte: 11/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Depuis plusieurs années je vais chez le même coiffeur, un salon mixte où il n'y a que des filles qui coiffent hommes et femmes. J'ai sympathisé avec une petite jeune, Eva, et elle est devenue ma coiffeuse attitrée. Je la tutoie, elle me vouvoie, on plaisante, on se confie des secrets.Je sais qu'elle vit avec un homme qui a cinq ans de plus qu'elle, et qu'elle semble heureuse.Elle me coiffe, et je lui pose une question banale sur son couple. Elle m'avoue que son mec l'a quittée, mais me rassure devant ma compassion pour me dire que c'est mieux ainsi, qu'elle pensait elle aussi à le larguer. Elle ne semble pas si triste de cette fin, et je m'autorise une drague sans espérance:- Si je comprends bien, ma jolie coiffeuse est libre?- Oui, totalement libre.- Dommage que je n'ai pas trente ans de moins, je t'aurais bien consolée.- Mais vous n'êtes pas vieux! Et puis il parait que les hommes mûrs sont très bien.- Je plaisante, je suis marié, je te l'ai dit. Sinon tu te vois faire ta vie avec un homme de soixante ans?- Non, pas ma vie, mais des petits moments agréables, pourquoi pas! Je crois que ça me plairait bien, même avec un homme marié.- C'est une proposition?- Peut-être! Mais on va changer de sujet. Je vais vous laisser mon téléphone et vous me rappellerez.On passe à autre chose, on discute de la pluie, du beau temps, des infos, et autres..............Je passe en caisse, je lui fais la bise comme à chaque fois, une bise qui effleure ses lèvres pour la première fois, et je ...
    ... repars avec le ticket de caisse sur lequel elle a inscrit son numéro.Je rentre chez moi, comme sur un nuage. Elle a 24 ans, c'est elle qui me l'a dit, moi 60, et j'ai du mal à croire que je vais pouvoir me la faire. Pourtant j'y ai souvent pensé, surtout quand j'attendais mon tour et que je la voyais évoluer autour de ses clients, son joli cul parfaitement moulé dans ses pantalons.Je pense l'appeler dans la soirée, quand ma femme sera scotchée devant la télé. Je prends un, et même deux apéro pour me motiver. Je dine, bois du vin, un café digestif; je suis chaud pour l'appeler cette salope, j'ai la bite à la main et je compose le numéro.Notre discussion de l'après midi a fait son chemin, et elle a envie de moi autant que j'ai envie d'elle. Je ne suis pas seul, elle vit chez sa mère, et il va falloir trouver un terrain neutre. On envisage l'hôtel, le sex-shop, un parking, et puis la solution nous semble évidente: le salon de coiffure. La patronne ne travaille pas le jeudi, et c'est elle qui fait la fermeture à 17h30. On met tout au point, puis je lui avoue qu'elle me fait bander, que je me branle pour elle. Elle se caresse elle aussi, et on se fait jouir au téléphone en échangeant des mots coquins.Je la rappelle le mercredi soir pour m'assurer que notre plan tient toujours. Elle me rassure, attend elle aussi avec impatience, et me prévient qu'elle ne sera pas seule: il y aura aussi Linda, une autre coiffeuse avec qui elle est très copine, et qui doit avoir deux ou trois ans de plus ...
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