Une étrange séance autour d'une tasse de thé
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
ff,
fsoumise,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
fgode,
jouet,
confession,
... l’attend lorsque Michelle lui ouvre la porte : la veuve a soigneusement coiffé ses cheveux, revêtu une jupe un peu courte ne couvrant que deux tiers des cuisses, s’est enduit les lèvres d’un rouge couleur sang, et les éternelles chaussures plates sont remplacées par des escarpins aux talons très hauts. La jupe est droite, couleur vert pastel ; trop serrée, elle lui moule exagérément le derrière. Un chemisier beige, un peu lâche, recouvre son torse. Elle ne fait plus austère du tout ; la chanteuse de la chorale s’est apprêtée avec soin pour recevoir Nicole. — Entrez, Nicole. Quel plaisir vous me faites ! Que désirez-vous : du café, une tasse de thé ?— Un thé peut-être, merci. Dans le salon au mobilier vieillot, deux portes-fenêtres à petits carreaux donnent sur le jardin. Assises sur des chaises de salon pas vraiment confortables, la conversation va bon train. Tout en devisant, tenant sa tasse de thé du pouce et l’index de la main droite, Michelle défait un bouton de son chemisier. — Vous savez, Nicole, j’ai remarqué… le changement. Vous portez des bas, n’est-ce pas ? Et un… porte-jarretelles… Nicole se raidit ; le rouge monte à ses joues. — Mais… comment le savez-vous !— À la sortie de l’église, votre manteau était ouvert. Votre jupe est si serrée, on pouvait deviner l’attache en métal d’une… d’une jarretelle à travers le tissu, je l’ai bien vue. Et ces petits plis que font vos bas… D’ailleurs, en ce moment même, on voit bien que… Tout en parlant, Michelle dégrafe un autre ...
... bouton de sa main gauche, puis un autre, toujours tenant la tasse de thé à l’aide de deux doigts de son autre main, comme dans une conversation mondaine. Le dernier bouton saute ; le chemisier s’ouvre, libérant une poitrine petite mais aux pointes érigées. — Et… j’ai parfois des pensées… impures ! Je rêve de… Elle pose la tasse, retire le chemisier qu’elle jette sur le parquet. — Vous me comprenez certainement, n’est-ce pas ? Elle se lève, descend la fermeture Éclair de sa jupe qui tombe au sol, révélant des jambes couvertes de bas couleur chair et le porte-jarretelles beige. Elle baisse sa culotte, la retire et se rassoit, les genoux joints. Pour une femme dont l’âge se situe dans la quarantaine, elle est encore bien faite : des cuisses pleines, le ventre plus tout à fait plat, mais pas de signe de cellulite. « Elle est folle, complètement folle ! Qu’est-ce que je fais ici ? » Michelle reprend sa tasse de thé, regarde le sol et poursuit son aveu : — Mon mari – paix à son âme – était très porté sur le sexe. Il aimait me… enfin, il m’emmenait dans des endroits, des petits chemins en forêt. Nicole, maintenant intéressée par les confidences de Michelle, penche légèrement la tête de côté pour l’inciter à continuer. — Vous pensez certainement que je suis folle, et vous avez raison. Mais, je crois que le Diable est en moi ! Michelle avale une gorgée de thé puis, d’une voix devenue rauque, elle explique : — Ces chemins menaient toujours à une clairière où étaient stationnées plusieurs ...