Poupée salope
Datte: 11/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Anal
Hardcore,
Dès le départ, Benjamin et moi, nous avons parlé en baisant. Nous avions la trentaine tous les deux. Nous avions donc un passé sexuel respectif. Mille expériences à se raconter.Il aimait que je lui relate dans le détail des choses que j’avais faites, et inversement. Mais, très vite, nous avons convenu de mélanger des faits vécus et des faits inventés. Nous nous y sommes vite perdus, et c’était là tout l’intérêt. Toute l’excitation.Tel récit était-il vrai ou faux ?Là était la question, et nous n’y répondions jamais. Nous laissions le mystère planer, pour notre plus grand plaisir. Nous nagions entre fantasmes et réalité. Nous en jouissions tous les deux.Puis, un soir, nous avons cessé de parler du passé. Nous en sommes venus au présent, ou plus précisément à ce que nous avions fait depuis que nous étions ensemble, c’est-à-dire depuis quatre ans.Benjamin m’avait-il trompée ?Mystère.L’avais-je trompé de mon côté ?Mystère aussi.Nous avons laissé planer ces mystères, tout en continuant à baiser en se racontant des histoires à voix haute. L’incertitude nous faisait jouir. J’étais potentiellement une salope, et lui un salaud.Mais allez donc démêler le vrai du faux, lorsque dès le départ les règles sont définies ainsi : ne jamais avouer à l’autre si c’est vrai ou faux.Un soir, nous étions dans la chambre, sur le lit, à poil. Benjamin me prenait en levrette et je me branlais le clito en même temps. Je lui ai raconté que peu de temps après qu’on se soit mis ensemble, je m’étais rendue ...
... à une soirée privée en son absence, dans une grande maison bourgeoise, avec ma copine Sylvia.Je lui ai expliqué que nous avions beaucoup bu, comme tout le monde à cette soirée. Il y avait plus ou moins cinquante personnes et je n’en connaissais pas beaucoup. J’étais un peu ivre et j’avais perdu Sylvia de vue depuis un petit moment.Un homme m’a abordée, près de la longue table où se trouvaient les alcools et les petits fours disponibles à volonté. J’avais décidé dès le départ de ne pas faire de mélanges d’alcools, histoire de ne pas être malade. Je buvais aussi des verres d’eau, de temps en temps. Ma tête tournait, mais je tenais plutôt bien debout et j’avais tous mes esprits quand cet homme est venu près de moi en me disant :« Il me semble qu’on ne se connait pas. »Il était grand et grisonnant. Je lui ai donné 55 ans. Je l’avais remarqué dans la foule mais, effectivement, on ne se connaissait pas.On s’est mis à parler, de tout et de rien : de qui j’étais, du boulot que je faisais, et inversement. Ces présentations ont duré le temps d’un verre et nous nous sommes resservis.Il s’appelait Jacques.Nous avions 20 ans de différence et il était divorcé.Pour ma part, je ne lui ai pas caché que j’avais un compagnon, mais qu’il était ailleurs ce soir-là.Et, tout en parlant, je voyais bien qu’il m’observait attentivement. Mon visage, mais aussi ma poitrine. Je portais une de mes robes préférées : noire et souple, longue, fendue le long de la cuisse gauche, boutonnée devant. Mais un peu ...