Une belle-fille particulière (6)
Datte: 05/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... être désirez-vous les essayer avant de faire votre choix ? » « Eh maman tu oubli Zahira ! Même si elle ne fait pas encore vraiment partie du club. » « Mais qui est Zahira ? » « C’est une magnifique black, que Chloé connait à la clinique où elle voit son docteur spécialisé pour les cas d’hermaphrodismes. » « Ah, je vois, vous êtes vraiment de redoutables succubes insatiables toutes autant que vous êtes ! » « Mais non Olivier, mets-toi à notre place enfin ! Quand nous sommes toutes réunies avec Maman, Mamie, Camille, Caroline et moi il nous manque une grosse bite et par conséquent nous souffrons d’un déficit de foutre crémeux si tu fais bien le compte. » « Donc le Baobab d’ébène de Zahira est parfaitement justifié mon chère beau-père. » « Effectivement, vu sous cet angle, je ne peux que m’incliner devant cette sage décision guidée par le bon sens. » « Et puis tu te doutes bien mon chéri que sans notre généreuse invitation, cette pauvre Zahira continuerait d’errer sans espoir sur la longue route désertique de sa lamentable vie sexuelle. » « Mesdames, votre bon cœur vous perdra ! » « Ne te moques pas Olivier car si on était réellement des salopes on aurait pu appâter les dizaines de femmes à bites de la clinique » « C’est cool les filles, au moins si on a plus de travail, on pourra toujours ouvrir une laiterie industrielle. » « Oui, bonne idée, moi je serais responsable de la traite de ces dames, toi et maman vous serez les goûteurs. » « Tu n’as pas sommeil mon bébé, il est ...
... déjà 3 heures 10. » « Tu as raison maman, sur ce elle nous embrasse puis se blottit entre nous en s’endormant comme une petite chatte, mais certainement partie dans de doux rêves érotiques Chloé nous gratifie d’un ultime filet de sauce qui s’écoule de son gland tout en ronronnant. Sa mère, délicatement lui calotte la verge. « N’est-elle pas adorable ma fille Olivier ? » « Mon amour, tu as donné naissance à la plus belle créature que cette terre ai jamais porté. » Je réalisais en le disant que c’était la première fois que j’appelais Stéphanie mon amour. Je ne sais pas si elle l’avait remarquée aussi. « Ou en étions nous Stéphanie ? Oui, je te demandais comment c’était arrivé avec ta mère et vous deux. » « C’est ça, mais pour que tu comprennes bien l’ensemble il faut que je commence par le début. Quand Chloé s’approcha de ses quatorze ans, elle nous a fait vivre l’enfer sur terre. Je veux dire par là que tous les après-midis, après l’école je devais laver entièrement ses pantalons, sous-vêtements, parce qu’ils étaient plein de semence collée, séchée, même durcie par endroits. Puis la nuit je l’entendais gémir, se débattre comme une forcenée dans sa chambre. Le matin je découvrais l’horreur. Son lit, ses draps étaient maculés de foutre gras, épais, jusque sur le parquet de chêne. Et je devais me coltiner une heure de nettoyage avant de me préparer pour aller travailler. Elle essayait de m’aider bien sûr mais la plupart du temps elle était en larmes ou bien sa queue continuait ...