Ma cousine est très dévouée et se fait aider par une copine.
Datte: 12/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... énorme ! J'ai peur de ne jamais pou... -Mais non ! Laisse-toi descendre, appuie ta raie sur son gland. Ça va s’emboîter tout seul ! Détends-toi ! Mon gland congestionné vient d’écarter l'échancrure de la vulve et s’y insinue doucement. Lisa est toute tremblante et Sylvie s’est saisit de mon nœud pour le diriger correctement dans l’ouverture de ses petites lèvres ou disparaît ma prune violacée. Tout doucement, Lisa s'empale sur moi. – Ça va ? S’inquiète Sylvie. Lisa desserre à peine les dents pour répondre. – Oui, oui, ça va ! Mais quand je descends dessus je crois que c'est trop gros. On dirait qu'on me déchire le ventre ! -Essaie encore un peu chérie, sa queue appuie sur ta membrane, elle est à peine engagée et il faut des fois forcer brusquement la première fois pour déchirer l’hymen. - Je ne peux pas ! Son barreau est trop gros ! -Une chatte peut tout accueillir, ne fait pas la peureuse, descend encore un peu mais il faut y aller franchement. D’habitude, c’est l’homme qui s’en charge ! La vulve moule au plus prêt ma flamberge qui n’est rentrée que de quelques centimètres. -C'est trop gros j'te dis ! Ça ne rentrera jamais, ça fait trop mal ! Implore Lisa. Sylvie, toujours à genoux, regarde le gland qui arrive avec peine à se glisser dans l'étroit fourreau, le prépuce tiré en arrière retenu par le frein tendu à se rompre. La scène est presque obscène et Sylvie décide de prendre les choses en main. Lisa est toujours sur la pointe des pieds, Sylvie écarte brusquement la cuisse ...
... gauche et bouscule la jambe droite de Lisa qui glisse sur le sol mouillé de la douche. Lisa ayant perdu son point d’appui, s’écroule sur mes cuisses, s’empalant jusqu’à la garde sur l’obélisque dressé. Elle pousse un hurlement de démente quand le gland trigonocéphale vient s’abouter au fond de sa matrice, compressant le col de son utérus. Tel un ressort, elle s’éjecte du pieu recouvert de traces de sang fiché en elle. -Excuse-moi, Lisa ! Grimace Sylvie. Mais c’était le seul moyen, et tu vois bien que c’est possible, toute sa queue est rentrée ! Lisa est tellement tremblante qu’il faut un long moment avant que Sylvie arrive à la rassurer et la persuader de revenir se frotter au supplice de cette tige pharaonique. Lisa frotte avec appréhension ma bite sur les lèvres de son vagin avant de l’enfoncer tout doucement en commentant, couinant et gémissant de douleur et plaisir à la fois. -Quel pieu ! Je le fais glisser doucement, il rentre mais putain qu’il est gros…, ça y est, ses couilles buttent sur mes fesses. Je fais des va et vient sur sa bite énorme qui rentre au fond de mon puits d’amour ! Elle gémit de plus en plus en activant la cadence. Elle sent mon pénis en elle qui la remplit. Soudain elle se crispe sous la jouissance. Je m'abandonne aussi à la jouissance. Sylvie qui avait pris mes bourses à pleine main sent les couilles durcir et se rétracter et s’exclame. -Ouh lalah ! J'crois que ça y est ! Il a tout lâché, il se vide mais tu sens rien j’espère ? Un râle de bête sort ...