Le cube - Histoires de Sexe

Le cube

... encore le joli petit cul bien ferme et la fière poitrine de son inconnue avant de réintégrer le quotidien des grosses loloches pendantes et des fesses flasques de sa moitié. Moitié qui, contrairement à son habitude, continuait de le secouer. Alors qu’il allait l’admonester, la voix résonna dans sa tête : — Pourquoi m’appelez-vous Chacha ? Oups, ça continuait. En moins de temps qu’il ne faut à une effeuilleuse pour tomber son string, il se redressa, se retrouva assis en tailleur face à l’inconnue accroupie à ses côtés tachant tant bien que mal de cacher son intimité. Elle avait une vue panoramique sur la sienne. Heureusement M. Popaul était en position « nuit ». Instinctivement, il plaça une main en conque sur son service trois-pièces. Connement, il lui répondit : — Chacha, c’est ma femme et généralement c’est elle qui me brasse pour me faire lever.— Vous êtes marié ?— Oui, dans le monde réel depuis une quarantaine d’années. Et vous ?— Aussi. Vous avez également rajeuni ? Quel âge avez-vous en réalité ? Moi, j’ai 61 ans.— 63 ans. Qu’est-ce qu’on fout là ? Ils faisaient de gros efforts pour ne pas se regarder. Mais la mer de miroirs rendait leurs efforts vains. Les parois renvoyaient l’image de leurs corps à l’infini. Au creux de ses reins, le désir naissait. Début d’érection favorisée par le fait qu’il ne pouvait ignorer la propre excitation de sa compagne d’infortune. Excitation qui se manifestait par une tension très visible des tétons, par de l’apparition répétée d’une ...

... mignonne petite langue et par un fumet indéfinissable qui le mettait en transe. — Je ne sais pas. Vous n’êtes sans doute que le produit de mon imagination ! Je rêve.— Peut-être. En tout cas, si vous, vous êtes le produit de mon imagination, je la félicite. Vous êtes un bon produit. Elle aurait pu plus mal choisir. À peine les mots avaient-ils franchi ses lèvres que déjà Sam les regrettait. D’accord, il était dans un univers fantasmagorique, ce n’était pas une raison pour se comporter ainsi avec une nana. Elle n’allait pas apprécier. Vu le temps qu’elle avait mis pour sortir de sa réserve et lui adresser la parole, elle ne devait pas être plus à l’aise que lui. Il avait dû se passer quelque chose pendant son sommeil, car loin de jouer les bêcheuses, elle répondit sur le même ton. — Je ne me plains pas non plus. Pour un « vieux » de 60 ans, vous êtes plutôt bien conservé. Nous rêvons, n’est-il pas ?— Y’a des chances !— Alors, vous ne serez pas choqué : vos attributs sont du modèle largement au-dessus de celui de mon mari. Elle ne le choqua pas, mais Sam fut scotché : la damoiselle se lâchait. D’ailleurs, elle continuait : — Je sais, ce n’est pas correct. Moi, une femme honnête, je ne devrais pas vous regarder comme ça. Je n’ai jamais trompé mon mari. Enfin juste une fois, mais ça ne comptait pas. Ici, ce n’est pas la vraie vie alors j’ai le droit de vous « mater ». Surtout que vous êtes plutôt pas mal foutu et que ça ne vous déplaît pas ! ironisa-t-elle en baissant le regard sur ...