1. Un mari bricoleur


    Datte: 13/05/2021, Catégories: ff, hh, fhh, 2couples, couplus, voisins, vacances, hdomine, Oral préservati, Partouze / Groupe hsodo, échange, attache, yeuxbandés,

    ... bien. Et son visage, son regard, qui reflètent son plaisir. Voilà la raison de ces gémissements. On dirait même que le regard qu’ils échangent déclenche la montée de la jouissance. Elle se démène de plus en plus vite sur les queues, déclenchant ces claquements de peaux qui se heurtent, de la même façon que le ventre de Gabriel tape contre ses fesses. Il ne la quitte pas des yeux alors que ses cris montent de plus en plus forts, que chaque poussées la font souffler comme si les deux bites étaient des pistons qui chassaient l’air devant eux. Les deux hommes semblent en accord avec leur maîtresse et celui qui encule et qui peut dégager son mandrin, arrache la capote pour balancer sa crème sur le dos de Patricia. L’autre, bloqué, écrasé par elle, ne peut que jouir dans la capote, encore bien au chaud dans le vagin en feu. Philippe, lui aussi, sent une coulée sur ses reins, traînée du sperme que Gabriel vient de lui offrir. Même Lucie prend son plaisir dans un dernier spasme. Philippe, lui, reste seul et alors que les autres se dégagent, tous constatent qu’il présente toujours une érection hors norme. Tous n’ont d’yeux que pour la queue raide et tendue qui s’est stabilisée à l’horizontale. Patricia est la première à réagir et alors que tous pensent qu’elle se lève pour aller vers son mari, ils constatent qu’en réalité c’est vers le troisième larron qu’elle s’arrête. L’homme lui aussi est toujours bandé, érection sagement entretenue par sa main caressante. Alors tout se succède ...
    ... très vite. Elle recouvre la bite avec une capote, tire l’homme pour le placer derrière son mari, guide le mandrin face à l’anus et, de tout son corps collé contre le dos de l’homme, elle le pousse afin que d’un mouvement progressif mais ininterrompu, la bite fore le cul et glisse dans le conduit. Puis, par des petites claques sur les fesses, elle imprime le rythme de la possession, enculant par personne interposée son mari. Alors que l’homme bourre Philippe, Patricia dégage la queue de son mari du latex maintenant inutile pour le remplacer par ses lèvres. Serait-ce les coups de boutoir, ou la bouche gourmande, toujours est-il que Philippe sent enfin sa jouissance venir. Elle vient du plus profond de ses entrailles, allant chercher dans la partie animale le cri de libération qu’il pousse lorsqu’enfin son sperme jaillit de sa queue devenue douloureuse de cette longue érection. Et il coule, par des jets qui semblent ne jamais s’arrêter, lui faisant craindre un instant qu’il ne pisse en place d’éjaculer. Mais non, c’est bien sa crème, épaisse et odorante que sa femme recueille avec bien du mal, au point que de larges coulures s’échappent de ses lèvres. Enfin il sent la tension de son bâton se relâcher, et permettre à Patricia, qui l’a gardé en bouche de reprendre sa respiration. Mais elle ne le laisse pas. Elle attend que l’homme ait finit son travail et qu’à son tour il jouisse. Alors seulement, la verge tant aimée retrouve la liberté. Mari et femme échangent le baiser de l’amour, ...