Un mari bricoleur
Datte: 13/05/2021,
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Oral
préservati,
Partouze / Groupe
hsodo,
échange,
attache,
yeuxbandés,
... son excitation. Il a aimé le spectacle de sa femme gouinée par Lucie. Il faut dire que tout est nouveau pour eux. C’est vrai qu’ils ont eu une relation échangiste avec des amis, mais, ils étaient trop éloignés pour vraiment voir les détails. Rien à voir avec ce soir. Patricia se sent bien. Sa jouissance l’a libérée de la tension accumulée. Son mari ne pouvait pas ne pas l’avoir remarqué et elle le remercie par la pensée de lui avoir fait ce cadeau. Maintenant elle peut penser aux autres. Justement Philippe lui demande de se lever pour s’occuper de Gabriel, alors que lui s’installe juste à côté. Elle comprend ce qu’il veut voir. L’invitation est évidente. La fellation, ça la connaît. Tous ses amants, Philippe en premier, en redemandent. Elle aime cela. Les hommes, une femme à leurs pieds, se croient les maîtres du monde alors qu’en réalité c’est elle qui, avec ses lèvres, sa bouche et sa langue, est la véritable meneuse. Mais aussi elle adore sentir dans sa gorge le mandrin viril qui est si sensible et si fragile malgré sa dureté. D’abord elle commence doucement par bien humidifier les mains pour qu’elles s’emparent de la verge et en prennent la mesure. Elle la flatte sans la branler, juste pour la faire languir, soupèse les bourses comme pour vérifier que les couilles s’activent déjà. Premier baiser sur le gland, y abandonnant une perle de salive, puis elle descend vers les bourses dont sa main à encerclé la base tout en tirant vers le bas et n’en former qu’un seul paquet ...
... qu’elle gobe entièrement. Le regard ! Tout est dans le regard échangé entre lui et elle. Ses yeux se dirigent vers Gabriel. Elle y trouve déjà le début du plaisir. Mais ce sont les yeux de Philippe qui la ravissent. Attentif, il semble découvrir ce qu’elle lui fait pourtant souvent. Mais la vision est différente, l’angle permet de profiter de tous les détails et si ce ne sont pas ses couilles que Patricia gobe, il comprend toute la délicieuse perversité de cette vision. D’ailleurs Lucie vient les rejoindre et c’est sa bouche qu’il sent venir prendre possession de son gland. Patricia remarque aussi la présence de la femme à côté d’elle. Elle se sent défiée. Elle va montrer à cette gamine ce qu’une femme mûre est capable de faire. De la salive, beaucoup de salive. Baiser humide des fruits que le jus emplit lentement et que sa bouche masse tendrement, avec volupté, puis les séparer et les reprendre l’un après l’autre, léchant longuement la peau frissonnante. Elle remonte alors dans une caresse visqueuse jusqu’au col, le franchit en entraînant la peau que la queue, tendue à l’extrême, a rejetée vers le bas, pour en recouvrir le gland et la sentir repartir dès que la bouche la libère. Elle répète ce mouvement dans une masturbation grasse, humide et s’attarde sur le gland à la peau si fine et délicate. Elle redescend, toujours en léchant, succion revenant vers les couilles qui frémissent avant même d’être atteintes. — Elle est belle. Elle est dure. J’adore la sucer. Je vais la manger, ...