1. Petite promenade imprévue et exhib en forêt


    Datte: 13/05/2021, Catégories: couple, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme nature,

    ... tranquillement le temps de l’embrasser en la pelotant, pour le plaisir, mais aussi pour laisser le temps à notre voyeur de se trouver un endroit où il puisse mater non seulement sereinement, mais aussi distinctement. J’écarte doucement les bras de Léa pour les installer autour de notre complice, qui sera le seul à rester de bois. Je m’accroupis devant cette déesse de sensualité et remonte doucement une main sur l’intérieur de sa cuisse. De l’autre, je fais signe à notre voyeur qu’il ne doit pas faire de bruit ni se montrer, afin qu’il comprenne qu’il ne pourra qu’être voyeur et invisible. Mater, se branler, oui, mais pas s’imaginer pouvoir toucher, caresser et encore moins sauter ce corps de rêve, cette femelle excitante et impudique. Son signe de tête me conforte dans son respect de vrai voyeur. Alors ma première main se trouve rejointe par la deuxième et, ensemble, elles se mettent à folâtrer, caresser, explorer ces cuisses fabuleuses, pour remonter doucement vers ces convoitises merveilleuses que sont ses fesses et sa belle petite chatte. Je glisse ces doigts fouineurs sous la micro robe, tatillonne pour attraper la petite culotte et délicatement, la fait descendre religieusement sur ses cuisses jusqu’aux pieds, sans oublier de regarder notre voyeur. Braguette grande ouverte, son sexe rigide à l’air libre, il se branle, les yeux rivés sur ma petite fée lubrique. — Ton admirateur apprécie grandement, à ce que je vois… Je me penche sur sa toison, enfouis ma bouche dans ce ...
    ... parfum humide, et les deux mains lui attrapant les fesses, associe une langue chercheuse, complaisante et goulue. Je me redresse pour m’occuper aussi un peu de cette merveilleuse poitrine, bien à l’étroit dans ce petit soutien-gorge. Un bouton, deux, trois puis quatre, les pans de la robe s’écartent par la magie de mes doigts, laissant découvrir ce petit vêtement qui va devenir rapidement un souvenir. Petites contorsions de complaisance, et la magie continue d’opérer en la "personne" de ces deux divins petits globes d’érotisme. Le soutien-gorge rejoint la petite culotte au fond de ma poche. Léa est somptueuse, les cuisses nues, légèrement écartées, les bras grands ouverts, exhibant, indécente, sa poitrine soyeuse à nos regards gloutons et "violeurs", la robe ne servant que d’écrin complice et très sexe. Une main sur cette poitrine avenante et l’autre pataugeant dans sa petite moule, je malaxe, tripote, triture, viole, me goinfre de ce fabuleux fruit aux saveurs pimentées et douces à la fois. Notre voyeur, lui, s’active frénétiquement devant ce spectacle grandiose. — Il ne va pas tarder à jouir pour toi… J’ai à peine le temps de finir ma phrase que Léa se contracte violemment, en resserrant fortement ses cuisses sur ma main inquisitrice et m’attrapant le bras avec ses deux mains, le souffle rauque accompagné d’un « Huuummmm… » expiateur, elle se mord les lèvres de plaisir, laissant exploser sa jouissance. Notre complice, près de son arbre, se laisse aller lui aussi, arc-bouté, ...