1. Les cochonneries du stagiaire


    Datte: 13/05/2021, Catégories: fh, couple, Collègues / Travail cérébral, photofilm, Oral pénétratio,

    ... récompensée quand je me sens englouti entre ses lèvres de velours. Déboutonnant le haut de son tailleur, je glisse mes mains sur sa poitrine. Je la pétris au travers de son chemisier avant de le déboutonner à son tour. J’adore sentir la lourdeur de ses seins sous mes doigts. Mon sexe ne cesse de grossir dans sa bouche, sa langue tourne autour du gland. Elle me regarde, je lui souris. — Mets-toi à genoux, Nath ! Elle obéit, mes mains glissent au bas de sa jupe. Je la remonte doucement, le tissu glisse le long de sa croupe. Elle me suce maintenant les fesses à l’air. J’ai repris ses seins en mains. Mes doigts tournent autour des aréoles. Je pince ses tétons entre le pouce et l’index. Je sais qu’elle aime. — Allez, bouge ton cul de bourgeoise exhibitionniste, oui, comme ça,… continue, maintenant, imagine que ton stagiaire est derrière et qu’il se branle en te matant.— Salaud… La danse de ses fesses donne un sens particulier au mot. Son cul ondule autant que ses lèvres courent sur ma bite. Très vite, je l’entends murmurer : — Prends-moi.— Ne bouge pas. Nath toujours à genoux, j’écarte son string et je glisse mon sexe dans son con largement lubrifié. — Qu’est-ce qui t’excite comme ça ma chérie, c’est le regard de Marc sur ta croupe ?— Tais-toi !— D’accord, mais ferme les yeux et imagine que ma bite est celle de ton stagiaire qui te prend par derrière sur ton bureau. Je la tiens fermement par les hanches. Je la fais coulisser le long de ma bite. Ses fesses claquent contre mon ...
    ... ventre. Ses mains s’agrippent au tissu du canapé. J’accélère le mouvement. Je sens le plaisir monter en elle. Je me retire. Mes mains empoignent ses seins. Contre son dos, je lui dis à l’oreille : — Tu aimes te faire baiser par ton stagiaire, c’est pour ça que tu passes ta journée à lui montrer ton cul ?— Oui, baise-moi, Marc, prends la petite bourgeoise qui se trémousse dans le même bureau que toi, oui… Je la pénètre à nouveau pour une dernière chevauchée où Nath s’écrie tout le long : — Marc, oh, Marc… Je la sens jouir et je la rejoins, propulsant des jets de sperme au fond de sa chatte. Nous restons enlacés le temps de reprendre nos esprits. J’ouvre les yeux, Nath me sourit : — Tu as aimé, ma chérie ?— Salaud, tu m’as fait dire n’importe quoi— J’ai cru que le délire était partagé ?— C’est vrai… Nath reste assise sur le canapé, rêveuse. Je la laisse un instant. Quand je reviens, elle s’apprête à se lever pour aller se changer. — Non, reste comme tu es !— Qu’est-ce que tu fais avec l’appareil photo ?— J’immortalise ce moment, lève-toi et tourne-toi. Je la photographie de dos, sa jupe est rabaissée, juste un peu chiffonnée. Elle porte encore sa veste. — Relève ta jupe— …— Oui comme ça, maintenant, baisse-toi, je ne veux voir que ta croupe. Nath obéit, je saisis l’image de ses jambes surmontées de son cul à croquer. En lui caressant les fesses, je l’invite à se retourner. — Non, pas de face, tu sais que je ne veux pas de photos où on me reconnaisse.— D’accord, je fais juste des ...