Ma drole de famille (17) - Histoires de Sexe

Ma drole de famille (17)

... le sperme, je crois que je préfère à la cyprine. –Laisse m’en un petit peu s’il te plait. Une autre langue vient remplacer la première pour finir de me nettoyer la vulve. Nous finissons par nous lever Paule et moi et allons nous assoir sur la margelle de la piscine, les pieds dans l’eau. lnglvvaj –Alors Paule, qu’en as-tu pensé de ce spectacle ? –Magnifique, ce sexe qui glissait sans efforts dans ton vagin, c’était superbe à voir, mais surtout ce que j’ai apprécié, c’est la proximité de cette bite quand je te titillais le clitoris, j’ai eu envie de la lécher, je crois que mon penchant pour les filles ne va pas être exclusif, j’ai quand même envie de ressentir ce que tu as ressenti tout à l’heure, j’ai vraiment senti que tu étais au summum du plaisir. –Tu sais, être lesbienne n’est pas une tare, tu pourrais très bien le vivre, mais si tu te sens attiré aussi par les hommes, je dirais tant mieux, comme ça tu pourras gouter à tous les plaisirs de l’amour et je peux t’assurer que certains hommes savent te donner beaucoup de plaisir. –Suis moi. Paule se laisse glisser dans l’eau et je l’imite, nous nageons un peu quand le téléphone sonne. Paule sort de l’eau et se précipite dans la maison. Elle revient deux minutes plus tard toute contente. –Mes parents ne rentrent pas ce soir, ils ont téléphoné à Elisa qui leur a dit que nous étions ici. Nous pouvons passer la nuit ici, Elisa et Henri sont d’accord, qu’en pensez-vous ? Tout le monde est d’accord, mais il faut que je prévienne ...

... Alexandre qui est sensé me rejoindre à la maison. Nous allons lui téléphoner avec Brigitte, nous lui donnons l’adresse, il nous dit qu’il sera là en fin d’après-midi. Nous retournons rejoindre les autres. Michel est allongé sur le dos sur un transat et Paule et Aline le caressent, il bande très fort. –Nous te l’avons entretenu. –Merci les filles, mais maintenant il faut passer aux choses sérieuses. Michel, tu t’occupes du beurre ? Je me mets à quatre pattes sur la couverture. Michel me badigeonne l’anus de beurre qui a eu le temps de ramollir un peu. Il le fait pénétrer dans mon conduit avec deux doigts. Les filles le regardent faire avec intérêt. Il ajoute un troisième doigt et me pistonne en ajoutant du beurre de temps en temps. Je sens mon sphincter se détendre petit à petit. –Je crois que tu es prête, tata. –Ok, vas-y. Michel s’agenouille derrière moi, cette fois-ci c’est Brigitte qui se met sous moi, mes nièces sont à côté de Michel. Je sens son gland venir se positionner contre ma rondelle. Il me saisit par les hanches. –Prête tata ? –Vas-y, défonce moi, fait voir à ces donzelles ce que tu sais faire, ne prend pas de gants, vas-y franco. Michel donne un grand coup de rein et me transperce d’un seul coup jusqu’aux couilles. Je sens une violente douleur, mais je m’y attendais, je ne réagis pas, je ne veux pas effrayer les filles. Il me sodomise sauvagement sur toute la longueur de sa bite en augmentant l’amplitude du mouvement de telle sorte que son sexe sort de mon anus ...