1. ALBERT LE ROUTIER, LA SUITE


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Après cette pause très agréable nous avons repris la route et repris nos discussion. Julien est étudiant en architecture. Il descend passer une dizaine de jours sur Béziers pour profiter de la plage et de ses parents avant de rentrer travailler ses examens de septembre. Même si le soleil commence à baisser il fait toujours aussi chaud dans le camion ce qui augmente les odeurs de sexe qui sont toujours dans la cabine. Je baiserai bien à nouveau avec lui, mais cette fois j’ai envie de sentir son énorme queue en moi. Il est maintenant 18h et j’ai bientôt atteint mon quota d’heures de route pour la journée alors je lui explique et lui dit « Je vais m’arrêter au prochain parking pour la nuit. Tu as 2 possibilités soit tu cherches quelqu’un qui continue de t’avancer soit tu peux passer la nuit avec moi dans le camion et on continue la route ensemble demain. Ca dépend si tu es pressé. » Il n’hésite pas une seconde et me dit dans un sourire « Je préfère continuer avec toi, je ne suis pas sur de prendre autant de plaisir avec mon prochain chauffeur ». « J’espérais que tu me répondes ça. Je vais m’allonger une petite demi heure et après je vais me doucher. Si tu veux te dégourdir les jambes je laisse le camion ouvert ». Je passe derrière en le lui disant et me met à poil avant de m’allonger. Il tire les rideaux, me rejoins derrière et se déshabille avant de venir se lover dans mes bras. D’avoir un petit jeunot entièrement nu à côté de moi m’excite trop pour que je m’endorme mais lui ...
    ... s’écroule. Cela fait bientôt une heure que nous sommes comme ça, mon bras qui le tien est totalement endormi. Je le retire et fais glisser Julien qui se retrouve sur le dos. Son sexe est gonflé mais n’a pas encore atteint sa taille maximum. Je l’observe, j’ai envie de le toucher, de l’embrasser, de le sentir gonfler dans la bouche. En plus comme il est circoncis son gland est totalement à découvert et son méat coule un peu. Je ne peux pas résister, avec ma langue je lèche le liquide transparent et légèrement visqueux puis ma langue descend sur son frein que je titille un peu avant de remonter sur son gland. Mes lèvres redescendent de chaque coté de sa bite pour que je le prenne en bouche de plus en plus profondément. Julien commence à se réveiller et sa queue continue de gonfler. Je monte et descend lentement le long de sa hampe en variant les pressions de langue, de lèvres et de dents pendant qu’il continu de se réveiller. Une fois qu’il est bien réveillé j’accélère mes mouvements pour le faire rentrer de plus en plus profondément dans ma bouche, jusqu’à ce que son gland tape ma glotte. Il attrape ma tête avec ses 2 mains et me maintient enfoncé comme ça puis relâché la pression pour que je reprenne ma respiration. Il tient toujours ma tête, c’est lui qui donne le rythme de mes mouvements. Il me baise littéralement la bouche et bien que mes lèvres soient très tendues j’adore ça. Il s’enfonce de nouveau entièrement en moi. Avec ma main droite j’attrape ses couilles que je serre ...
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