Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (4)
Datte: 14/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Suite Maman s’habille. Enfin… si l’on peut dire. Débardeur à bretelles au décolleté abyssal, minijupe verte ultra courte, quasiment ras le bonbon, sandales à brides argentées, à talons vertigineux ! — Tu ne mets rien dessous ? — Non, j’ai décrété la grève des sous-vêtements le temps de ces vacances ! — Rien qu’à cette idée, tu me fais déjà bander ! — Et toi, OK pour ton bermuda, mais pas de slip en-dessous ! — Mais… on risque de voir que je bande ! — Tant pis pour toi, moi, on ne verra pas que je mouille !... Car je mouille, ça me ruisselle le long des cuisses, rien qu’à l’idée de me balader à poil sous ma jupe très courte dans la rue, sans que les passants n’en sachent rien. Et puis si ma jupe est hyper-courte, elle est raide et moulante, aucun risque qu’elle ne s’envole ! — Dommage ! plaisanté-je. Mais tes cuisses… fais-moi voir, s’il te plait. Sans la moindre hésitation, Valérie, trousse le peu qu’il reste à trousser de sa minijupe, tout au plus quelques centimètres. En effet, le haut de ses cuisses est brillant, mouillé de cyprine. Elle rabaisse sa jupe en riant. Quand j’y pense, jamais je n’aurais pu imaginer une telle situation, ni surtout ce genre de dialogue entre nous. L’escalade se poursuit. Jusqu’où ira-t-elle ?... Nous allons marcher ainsi dans les rues de Biarritz, côte à côte. Je prends la main de Maman dans la mienne. Rapidement, cela ne semble pas lui suffire. Elle passe un bras autour de ma taille, m’invitant à l’enlacer de mon bras droit, et la tenir ...
... serrée contre moi, par une épaule. Je nous fais l’effet de deux amoureux, marchant tendrement enlacés. Amoureux, je le suis sans aucun doute. L’est-elle, ou s’amuse-t-elle seulement ? Pour l’instant le mystère subsiste. En nous croisant, quelques personnes nous regardent avec insistance, voire étonnement ou réprobation. Réprobation peut-être pour la petitesse extrême de la jupe de Valérie, la profondeur de son décolleté, la houle de ses seins qu’elle accentue volontairement, la hauteur de ses talons, et puis par le « couple » que nous formons. Beaucoup ne doivent même pas supposer que nous sommes mère et fils. Auquel cas j’imagine dans ma tête les commentaires désobligeants : « non mais regarde-moi celle-là, habillée comme une pute, qui se tape un petit jeunôt, quelle honte ! » Cela m’excite au plus haut point. Je glisse à l’oreille de Maman : — Je crois que nous ne passons pas inaperçus !... — Tant mieux, réplique-t-elle, j’adore !! Serre-moi plus fort contre toi en marchant ! Remarque suivie d’un troublant aveu : — J’en ai assez d’être toujours l’hôtesse d’accueil courtoise et réservée, la maman sage, j’ai envie, j’ai besoin de me lâcher, merde à la fin ! Ras le bol des convenances ! Viens, on va prendre la voiture. — On ne va pas à la plage ? — Si, mais pas à celle de Biarritz. De fait, après un bon trajet, nous nous retrouvons sur la petite plage discrète, proche de Saint-Jean de Luz. Totalement désinhibée, à peine hors de la voiture, Maman envoie balader débardeur, jupe, ...