1. Isabelle


    Datte: 30/06/2017, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio, fsodo,

    ... stupide. Ton comportement et celui de ton père restaient un mystère pour moi. Vous aviez des sentiments opposés. Quand nous étions ensemble, tu étais folle de joie et ton père nerveux. Lors de notre dernière rencontre, c’était toi qui étais triste, par contre ton père était tout heureux. Conclusion, il voulait absolument que nous nous séparions. D’accord, mais pour quelle raison ? Pourtant lors de notre dernier week-end, tu t’étais montrée passionnément amoureuse, tu m’avais fait un si merveilleux cadeau… Pour que me quitter, il a fallait un motif sérieux, impératif même. Il y avait les réticences de ton père… mais celles de ma mère également, pour notre liaison. De plus cette visite à l’hôpital était étrange. L’agression, en elle-même, n’était pas un motif suffisamment important pour déplacer un homme politique. Puis mon embauche rapide à la mairie, il fallait qu’il tienne à me satisfaire. De plus ma mère était toute émue après lui avoir parlé. Il est probable qu’ils se connaissaient et c’est mon nom de famille qui a dû attirer son ...
    ... attention. Mais alors… J’ai voulu en avoir le cœur, net dès le soir. En rentrant à la maison, j’ai pris un air heureux, joyeux même. Ma mère a été surprise. Elle se demandait la cause de cette gaieté. Je lui ai adressé un sourire : Isabelle a compris que je savais tout et été soulagée de ne pas avoir eu à me révéler les raisons de son départ. Marion a été surprise, elle ne s’attendait pas à un pareil motif. — Michel, je suis heureuse que tu connaisses les raisons de ma rupture et je sais que tu la comprends. Je voulais ainsi vous dire au revoir. Mais je voulais aussi vous inciter à reprendre contact. À mon arrivée j’ai compris que je n’avais aucun souci à me faire. Aimez-vous, car vous êtes faits l’un pour l’autre.— Sois tranquille, je crois que Marion est prête à me supporter.— Au revoir, je vous laisse finir votre nuit. Ne me raccompagnez pas, je connais le chemin. Et à samedi. Elle est partie, nous ne l’avons pas accompagnée et avons repris nos joutes amoureuses. Quand le lendemain j’ai amené Marion à la maison, maman a explosé de joie. 
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